Economie

paragraphe 2-6 (chap 4) : Le régulationisme  : L’état un compromis social institutionnalisé

 Ecole de pensée contemporaine appelé parfois « L’école du béret basque »

Robert Boyer, Robert Delorme, Michel Aglietta et Alain Lipiez

Les théoriciens de la régulation apellés parfois les marxiens (par opposition avec les marxistes) parce qu’ils reprennent l’analyse de Karl Marx mais ils vont critiquer les principes conclusions de ce dernier (Un peu de Marx, de Schumpeter et de Keynes)

Les régulationnistes sur l’Etat : Sorte d’arbitre entre les capitalistes (les chefs d’entreprises) et les salariés. Au XIXème siècle, l’Etat est du coté des classes dominantes (capitalistes) puisqu’il n’y a pas de loi social (le droit de grève est interdit, peu de protection social)cependant  au XXème siècle, l’environnement change complètement (apparition de la sécurité social, le droit du travail se développe fortement, le droit de grève..) L’Etat doit trouver un accord pour les chefs d’entreprises et pour les salariés d’où le terme de « compromis social »

Depuis 1945, du coté du patronat on légitime le système Fordiste c’est-à-dire le travail à la chaine et l’augmentation de la productivité mais en contre-partie protection social renforcée et une augmentation des salaires pour les salariés. A partir de 73, le système Fordiste trouve ses limites

(Connaitre vraiment ses théories !!!!)

Section 3 : Les effets d’une augmentation des dépenses publiques

Importance du rôle de l’Etat dans l ‘économie

Démonstration de l’effet multiplicateur : L’Etat au cours d’une année, décide d’augmenter ses dépenses de plus de 20 milliards d’euros par exemple (nouvelle voie rapide autour de Lille par exemple) Les entreprises de ce secteur vont voir leur commande augmenter, donc demandent à leurs fournisseurs d’augmenter les matières premières par exemple, et vont eux-mêmes voir leurs commandes augmentent, et peut-être augmenter le nombre de salarié etc …

Partie 3 : Les déséquilibres macro-économiques

Le chômage et l’inflation

Chapitre 5 : Le chômage

Introduction :

Mars 2014 : le taux de chômage des pays de l’UE s’établissait a 10,5 % de la pop active. (La Grèce = 27 % et l’Espagne = 25,3 % à l’inverse L’Allemagne = 5,1 % et Autriche = 4,9 % : Chômage modéré) Au sein des pays de la zone Euro, le chômage été de 11, 8 %

Les Etats-Unis = 6,7%, le Japon = 3,6 %

10,4% pour la France en Mars 2014

Le nombre de chômeurs x 100 / La pop active totale : Le taux de chômage 

Le taux de chômage de longue durée : Chômeurs étant au chômage depuis plus d’1 an / le nombre total de tous les chômeurs

Existe t-il une seule forme de chômage ou plusieurs ? Le chômage n’est pas un phénomène homogène

Chacun à sa propre définition du chômage

Section 1 : Définitions et mesures du chômage

Pour le BIT, vous êtes chômeur si simultanément vous êtes sans travail, être disponible pour travailler et si vous recherchez activement un travail

En France, 2 organismes qui calculent le chômage : Pôle emploi et l’Insee

Paragraphe 1-1 : Définition du chômage au sens de Pôle emploi

Recenser le nombre de chômeurs et à essayé de leur trouver du travail : 1er organisme à la NPE (Agence national pour l’emploi)

2ème organisme Associations pour l’emploi dans l’industrie et le commerce Assedic : organisme chargé d’indemniser les allocations chômage

Pôle emploi calcule les DEFM (Demandeur d’emploi en fin de mois) Une personne au chômage doit se présenter a pole emploi pour se faire recenser, une fois enregistré Pole emploi est capable en fois de mois de déduire le nombre de chômage. La personne doit tout les mois dire l’évolution de son activité

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