Train d'atterrissage

L’histoire trains d’atterrissage débuta en 1876 lorsque Alphonse Pénaud et Paul Gauchot, deux inventeurs français, conçus le plan pour un monoplan amphibie à deux places qui contenait des trains d’atterrissage. Bien sûr, ce plan ne fut pas mis à l’œuvre, dès son brevetage, puisque la technologie ne permettait pas le fonctionnement d’un tel mode de transport. Le prototype de train d’atterrissage était supposé contenir un système à air comprimé pour amortir le choc de l’atterrissage. C’est en 1917 que les premiers avions dotés de système d’atterrissage fut leur apparition. Ceux-ci étaient fait en acier simple. Avec l’évolution de la recherche métallurgique, les matériaux constituant les trains d’atterrissage changeont, au fil des années. Les années 50 marquèrent un point tournant dans l’histoire des matériaux utilisés pour ces pièces d’avions. Elles marquèrent l’introduction d’un acier à très haute résistance qui apporta un gain de 50% sur la résistance à la rupture par rapport à ceux précédemment utilisés. Les années 60 virent l’apparition d’un autre acier aux propriétés métallurgique améliorées qui prit le dessus sur son prédécesseur. Ce matériau contenait un faible taux de carbone ce qui le rendait plus résistant au choc et moins enclin aux cassures. De nos jours, Les trains d’atterrissage rétractable, notamment ceux utilisés pour les avions de série CRJ700 et CRJ900 de Bombardier, sont constitués d’acier 300M à haute résistance. L’avancée technologique, dans ce domaine, ne cesse d’évoluer. Il est très possible, pour le futur, de voir un changement drastique dans la composition métallurgique de ces pièces essentielles à l’atterrissage. En effet, il est possible que l’on découvre différents aciers avec une différente composition chimique qui serait plus adéquat au travail, aussi, il est possible qu’un métal totalement différent soit mis à l’essai pour cette tâche.

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