Le moi

1. Pascal  passe d’une interrogation sur le moi à une interrogation sur l’amour car l’identité est variable. Elle varie selon l’interlocuteur l’environnement social ou les évènements. Le moi n’est pas une entité figée dans le temps. Mais si tel est le cas, si  l’identité est plurielle, comment aimer le vrai quelqu’un ? Ces deux interrogations sont liées et c’est donc pour cela que Pascal passe de l’une à l’autre.
2. Les qualités morales et intellectuelle ne définissent pas le Moi. En effet devient-on moins aimable lorsque nos convictions changent ? Notre façon de penser définit-elle notre être ? Mais si l’on perd l’esprit, l’être qui  nous chérit pourra t’il nous reconnaitre uniquement grâce nta notre physique ? La vision de l’être changera t’elle pour ne l’aimer que dans le paraitre ?Pourtant si la maladie ravit le physique que restera il à aimer ?n’est on donc condamnés qu’à aimer le physique qui s’altère avec le temps ? Une chose qui n’est pas immuable ne peut définir le moi. Le moi n’est donc réellement défini ni par le corps ni par l’âme qui sont des facteurs périssables. Le moi ne peut donc être réellement.

1. Alice utilise des pronoms qui font acte de son identité alors qu’elle-même n’arrive pas à la définir c’est donc pour cette raisons que le ver s’interroge sur la profondeur, l’identité qui se trouve derrière l’utilisation de ces pronoms.
2. Du point de vue du ver l’identité est mouvante mais sa perception de l’est pas. En effet il trouve normaux les changements corporels au cours de la vie. Cependant du point de vue d’Alice son identité est changeante ce qui fait que sa perception n’est pas stable.
3. Si l’on est défini par les autres par une caractéristique définie, son changement modifie alors l’identité. En effet une fille définie par des cheveux courts, si elle les fait pousser son identité perçue par les autre ne sera plus la même car désormais ses cheveux seront longs.
4. Le moi se transforme à la fois à cause du temps qui passe et à la fois et à cause des expériences vécues. En effet le corps change avec la vieillesse notamment avec les rides, mais aussi avec les expériences. Une personne qui n’avait pas peur des chiens et ce serait faite attaquer par l’un deux aura peut-être plus peur des chiens désormais.

1. La tonalité de ce passage est ironique et sceptique vis-à-vis de la technique de psychanalyse du traité. Il utilise des atténuations notamment avec « mais c’est tout ce qu’elle fait »
2.  Svevo associe la petite enfance, le « temps des langes » du traité au souvenir d’un bébé dans sa mémoire. Ces associations ne sont pas originales car suggérées par son interprétation du traité, qui modifie ses souvenirs.
3. Il plaint le bébé qui lui apparait car ses souvenirs le défigurent, et qu’il ne peut le prévenir de garder précieusement en mémoire ses jeunes années afin de ne pas finir comme lui.

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