Le bonheur existe vraiment?
Dissertation : Le bonheur existe vraiment?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar lala72 • 7 Janvier 2019 • Dissertation • 1 407 Mots (6 Pages) • 2 339 Vues
- Le Bonheur est l’objet d’étude de notre texte, c’est donc notre thème. Plus précisément la thèse de l’auteure dit que le vrai bonheur qui reste ne nous doit naître de nous-même et non de la fortune ou des biens matériels. Tout d’abord l’auteur explique l’antithèse de son texte, l’Homme ne doit pas trouver son bonheur dans des biens matériels ou autres ne peut pas être heureux car ces choses ne sont que passagères.
Ensuite il dit que le bonheur venant de soi est « fidèle et solide » ce qui veut dire que nous ne pouvons trouver un bonheur plus pur qu’en nous-même. En trouvant ce bonheur en nous, nous atteignons alors une plénitude car nous ne pouvons être déçus ou blessé par nous-même. N’importe qui, même ceux qui n’ont rien peuvent être heureux. Nous n’avons pas besoins de posséder des choses de valeurs pour être heureux. Nous pouvons posséder des biens mais il ne faut pas y être dépendant, il faut pouvoir prendre du recul et se détacher de ces biens.
Sénèque pense que l’on ne doit pas déprendre de la chance ou des biens matériaux, car même les gens riches qui on « tout » pour être heureux ne le sont pas car l’argent de fait pas le bonheur. Le monde dans lequel nous vivons nous pousse à croire que pour être il faut posséder une maison avoir une famille gagné biens sa vie ou encore qu’avoir le dernier téléphone à la mode nous rendra épanouie. En effet l’argent ne fait pas le bonheur mais il peut y contribuer pour les faibles d’esprit à apporter l’illusion du bonheur, ils pensent que posséder beaucoup de choses les rendront plus fort plus heureux car c’est ce que la société veut nous faire croire.
Seule l’âme est plus forte que la chance car si nous nous persuadons que l’argent fait le bonheur nous pouvons aussi ouvrir les yeux et constater que nous n’avons pas réellement besoins de ces futilités. Notre âme fait le choix de voir la vie du bon ou mauvais coter. L’âme varie selon les personne et en grandissant la société engraine cette âme vers des désirs qui ne sont que des futilités.
Plusieurs problèmes ce poses face à ce texte tout d’abords « Est-ce que naissons-nous tous avec les mêmes conditions du bonheur ? ». Mais aussi « Sommes-nous responsable de notre bonheur ? ». Et pour finir l’antithèse formulée dit que la société engraine des besoins auxquels on doit satisfaire pour être dans la norme sinon nous accumulons des frustrations.
- a) Quelle différence y a-t-il entre la joie tirée de « ce qui vient du dehors » et « celle qui naît de soi » ? Expliquez cette différence. Précisez en quoi le « bien-être matériel » relève de « ce qui vient du dehors » ;
Pour Sénèque, la différence entre la joie « qui vient du dehors » et « celle qui naît de soi » est que la première est fragile et éphémère, alors que la seconde est solide et durable.
En effet, la joie est un sentiment positif, qui est causé par la satisfaction que nous éprouvons, vis-à-vis de quelqu’un ou de quelque chose.
Or, la joie « qui vient du dehors » est procurée par la possession de biens matériels, dont nous pouvons être privés (par la perte, le vol) ou qui, de toute façon ne sont pas durables : ils finissent par s’user ou par se casser. De même, notre joie de les avoir, dans un premier temps, laisse souvent place, par la suite, à la lassitude et au désir d’acquérir autre chose.
Par contre, la joie « qui naît de soi » est celle que nous éprouvons, quand nous considérons nos qualités propres, c’est-à-dire celles que notre âme possède. Ce sont des connaissances et des vertus, comme le courage, la tempérance, la justice.
Ces qualités définissent notre moi : nous les avons acquis à force de travail sur nous-mêmes. Nous pouvons même les améliorer sans cesse et donc augmenter la joie que nous ressentons, quand nous y pensons.
Par contre, les biens matériels viennent de l’extérieur, car ce sont des objets fabriqués par d’autres, pour nous assurer un certain confort de vie. Ils n’ont de valeur à nos yeux que par leur utilité, qui leur a été attribuée, par la société. Par exemple, dans les sociétés occidentales, nous considérons que les chaises nous permettent de nous asseoir confortablement, alors que dans d’autres sociétés, elles sont inutiles.
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