Le Bon et le Mauvais Dialogue

                                                                                                                                                         Philosophie[pic 1]

       Le dialogue. Certes, le dialogue est en soit le fait de «discuter» avec un interlocuteur externe, un entretien souvent entre deux personnes, mais est-ce que sa description s’arrête là ? Non. Les dialogues peuvent être variés et tous aussi différent l’un de l’autre, mais nous distinguons particulièrement deux types de dialogues possible: l’un est celui qui serait le «bon», et l’autre serai dit «mauvais».

        Par quels facteurs, un dialogue se caserait dans une catégorie de dialogue,     

 entre la bonne et la mauvaise manière de dialoguer?   

       En premier lieu, le «dialogue» est un terme qui s’est principalement développé dans la Grèce antique, lors de l’ébauche de la philosophie. C’est alors que l’un des créateurs de la philosophie morale, Socrate, énonce ce que serait le bon et le mauvais dialogue selon lui.

            En effet, la mauvaise manière est celle dans laquelle les interlocuteurs[pic 2][pic 3]

ne vont point tenter de se mettre en accord l’un avec l’autre, de cause de manque de lucidité, de calme. Celui qui écoute l’autre aura tendance à vouloir élucider les propos de la personne opposée, mais en faisant cela il peut mal interpréter ses allégations, et les prendre contre sa propre personne, et être porté à s’horripiler. Plausiblement, un tel dialogue pourra inopportunément dériver vers un débat,

où les dialogueurs resterons en oppositions.

            Autrement, la bonne façon de dialoguer est celle où nos deux interlocuteurs se placerons mutuellement sur les pensées de l’autre, afin de créer une voie d’entente entre eux. L’un, tant bien que l’autre, écouterons et parlerons posément, sans lever le ton, ni en démontrant nul marque de nervosité. Même si les deux opposants ne trouvent pas de voie d'accord, le débat aura été bon.[pic 4][pic 5]

      Par conséquent, le type de dialogue diffère donc selon «l'état mental» des interlocuteurs, s'ils sont prédisposé à une discussion saine et limpide. Il ne leur sera impossible de posséder un bon dialogue si l'un ou l'autre, ou même l'un ni l'autre n'est attentif réciproquement envers le deuxième.

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