La notion d'Etat
Cours : La notion d'Etat. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Carlito1234 • 11 Février 2021 • Cours • 593 Mots (3 Pages) • 424 Vues
L’État
La raison d’État que défini Machiavel comme étant supérieur aux libertés particulières fait le lien entre conscience et l’État. On en retient à tort son machiavélisme : celui qui est prêt à tout pour défendre la souveraineté, mais il explique que l’État est capable de sacrifier une certaine partie de la population voire certains proches du souverain. Déterminer la paix sociale/civile : il n’est pas un machiavélisme individuel, c’est une paix sociale.
Développement sur la notion de l’État : toute population a besoin d’institution pour rassembler les autres. Un barbare est celui qui n’a pas le logos, pas de rationalité, il n’est pas politique (rappel, la politique = logos, raison de tout homme). L’État s’est affranchi de la religion pour faire société, sans tutelle religieuse. L’État est le « fils du religieux ». Il y a une question de la constitution qui est une construction sociale qui suppose une participation des citoyens, et cette participation est une question de représentation. L’État prétend être au service de tous, alors qu’il créée des inégalités sociales inévitables. Alors, permet-il aux hommes de s’ouvrir à la société ou bien favorise-t’il l’individualisme ? Lorsque la société prime sur l’individu, on parle du schéma de l’Holisme.
Sommes nous libre ?
→ effet sociologique
→ sociale
→ politique
→ impôts (Kant, payer des impôts)
→ déterminations biologique
→ législation (paradoxal aussi car législation française prétend que chacun est l’égal de l’autre)
Aujourd’hui, l’individuel n’est plus vraiment individuel car il dépend d’une société : c’est la notion de Tocville. C’est l’individu qui prime sur la société toute entière.
[La démocratie est elle favorable à l’individu ?
Le peuple ne participe pas directement à la société]
I — L’Homme est il sociable ?
On distingue les société animales de celles humaines : les animaux n’ont pas d’histoire, leur comportement restent les mêmes. Les humains possèdent-ils une perfectibilité selon Rousseau (la capacité à se développer) et ne peuvent pas se penser sans vie sociale. Cela suppose la construction d’institutions, de normes qui sont imposées par les individus. Les sociétés Humaines sont dynamiques car elles sont capables de créer des lois et d’évoluer.
Selon Aristote, par l’intermédiaire du langage, l’Homme devient un être sociable. Ainsi la société a travers la parole donne la liberté au citoyen. Le citoyen est toujours le fils de sa société, en cela l’homme n’est pas individuel. L’homme en tant qu’animal politique (par Zoôn Politikôn) ; l’homme ne peut vivre sans société ; cette question prime sur la notion de l’individu.
René Girard réfléchit sur l’origine des sociétés. Ce qui constitue toute société humaine, c’est le sacrifice. Le bouc-émissaire va souder la société. Chez Kant, l’insociable sociabilité défini l’homme comme aspirant
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