La nature, un idéal, un mythe ou un modèle ?
Compte rendu : La nature, un idéal, un mythe ou un modèle ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar zh57 • 29 Avril 2021 • Compte rendu • 324 Mots (2 Pages) • 437 Vues
Philosophie :
La nature, un idéal, un mythe ou un modèle ?
L’homme est un être naturel mais pas totalement car il modifie ce qu’il est par la chirurgie esthétique, les vêtements, les tatouages, …
Quand l’homme cherche à définir ou comprendre la nature, il se place en retrait d’elle.
Comment faut-il penser l’homme qui est un être à la fois naturel et à la fois en retrait par rapport à elle ?
L’homme pense qu’il est une puissance qui transforme la nature et se pense donc comme un être artificiel. Pour l’homme, la nature est une fiction qu’il a construit et qui ne le concerne pas.
Dès notre naissance ont nous attribut un genre, d’ailleurs la première question qu’on pose après une naissance c’est « est-ce un garçon ou une fille ? ». En effet, on vit dans une société qui distribue des rôles aux individus pour s’organiser elle-même, une organisation qui est cependant essentielle à son fonctionnement. Un individu est défini par son sexe et son genre qui sont deux choses différentes car elles peuvent coïncider comme ne pas coïncider.
Mon corps n’est pas seulement un instrument qui ne m’appartient pas, puisqu’il est moi-même. En effet, si j’ai un accident et que je n’ai plus de visage, je ne me reconnais pas.
Il existe des disciplines sociales et politiques qui produisent des sujets politiques, des êtres humains, comme l’école par exemple qui nous rend obéissant. De la même façon, le genre est produit par une identification qui est donnée par l’extérieur, malgré l’individu, qui devient une représentation de soi. Ainsi on stabilise artificiellement deux identités de genre en imaginant une continuité entre l’aspect biologique et le genre. Une continuité qui n’est pas possible à l’évidence. On les stabilise par les jeux, les vêtements, la manière d’éduquer….
L’hétérosexualité est une norme imposée par la société pour pouvoir se reproduire, ce qui est un instinct naturel, dans le but d’instaurer une hiérarchie politique.
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