La boîte à bébé

Dans le quatrième document intitulé « “Les boîtes à bébés“ pourraient disparaître en Allemagne », de Camille Le Talec, le paratexte est composé de quatre parties dont, le titre de l’article, d’une phrase d’introduction au texte rédigé en gras, de sous titres permettant de délimiter les parties de l’article et pour finir du nom de l’auteur, La Croix, accompagnée de la date de publication, 14 juin 2013, qui se trouve à la fin de l’article.

Tout d’abord le titre « “Les boîtes à bébés“ pourraient disparaître en Allemagne », annonce d’emblée le thème abordé c’est-à-dire l’abandon des nouveaux nés ainsi que l’endroit, en Allemagne. Les mots « boîtes à bébés » sont mis en évidence par les guillemets pour apporter une certaine gravité à l’abandon de nouveaux nés, ces mots peuvent traduit par la boîte représentant le cercueil des bébés ou sinon les bébés sont comparés à des objets car les boîtes ont pour but de contenir des objets et non des personnes vivantes.

On constate que le verbe pouvoir se trouve au centre dans le titre et est utilisé au conditionnel ce qui signifie qu’il s’agit d’une action possible et non certaine.

Il y a ensuite les sous titres séparant les différentes parties de l’article, le premier est « les boîtes à bébés dénient le droit de l’enfant à connaître ses origines, critique l’ONU », L’ONU désapprouve ici cette méthode car elle ne permet pas par la suite à l’enfant de retrouver ses liens parenté ainsi que sa mère biologique. La deuxième partie est intitulé « droit à l’anonymat contre droit à connaitre ses origines », on peut constater que le mot contre occupe une place centrale ce qui signifie qu’il y a une opposition où il faut trouver alors une solution ou un compromis, en préservant l’anonymat des mères et permettre aussi aux enfants de retrouver leurs mères biologiques. « depuis 1999, 278 enfants déposés dans des boîtes à bébés », ces chiffres paraissent faibles comparés à la population allemande et au nombre potentiel d’enfants abandonnées par les mères que l’on peut supposer.

Pour finir, on retrouve le nom de l’auteur, Camille Le Tallec, accompagné du nom du journal, « La Croix » et la date de publication, le 14 juin 2013, ce qui permet de donner une situation historique et l’orientation politique de cet article.

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