Kant, Idée d'une histoire universelle d'un point de vue cosmopilitique
Commentaire de texte : Kant, Idée d'une histoire universelle d'un point de vue cosmopilitique. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Marie Af Rosenborg • 15 Mai 2017 • Commentaire de texte • 529 Mots (3 Pages) • 2 402 Vues
Kant - Idée d’une histoire universelle au point de vue cosmopolitique
4ème proposition - L’insociable sociabilité
Dans sa quatrième proposition, Kant va nous éclairer sur son point de vue en ce qui concerne l’insociable sociabilité. Ce terme de deux forces contraires s’opposant est paradoxale voire dialectique et désigne le fait que l’homme dépend d’un entourage humain, mais en même temps veut s’en priver. Son côté dialectique est dû au fait que ce qui nous intéresse n’est non l’insociabilité et non la sociabilité mais ce que cela va procurer.
La nature se manifeste à travers cet insociable sociabilité, désigner par le terme, « antagonisme » dans la société. Ce qui pourrait faire penser au sujet, « La société dénature t-elle l’homme? ». L’homme se voit comme un parfait exemple du développement des dispositions naturelles, lorsqu’il s’oppose à une société. Les hommes ne seront jamais d’accords (vu qu’il est voué à la discorde), grâce/à cause des passions. Les côtés naturel de cette insociable sociabilité sont que du point de vue de l’insociabilité, l’homme recherche ses droits (ce qui entraine des désaccord, étant donné que chaque homme se crois unique) et du point de vue de la sociabilité, l’homme dépend de l’homme (cf. Michel Tournier, pour que l’existence des choses nous sont confirmé + la reproduction). L’homme est dialectique du fait qu’il a tendance à vouloir s’associer, mais en même temps se séparer. Chaque homme veut être le meilleur, trouver des solutions, découvertes… (briller). Un progrès présent est que l’homme se forgera un esprit critique, par exemple: au temps des Lumières ( où les philosophes tentaient de rendre l’homme conscient de cette dépendance envers l’Église, de manière à la défavoriser ).
L’homme veut la concorde, qu’il y est une bonne entente, un monde parfait, alors que la nature a fait en sorte que la discorde soit propre à notre espèce. Kant est d’avis avec la nature, l’homme doit être poussé dans ses situations nécessitant un effort non favorable, pour ensuite trouver un moyen de s’en débarrasser ( le défi ).-Ses grâces au fait que la nature nous ai imposé cette discordance ( l’insociable sociabilité ) que l’on devient capable de développer ses dispositions naturelles de manière naturelle( =sage créateur ). La nature a mis en l’homme la comprehension de l’universel, et la volonté de l’atteindre ( c’est le seul animal qui en soit capable, donc ce qui fait son humanité ). L’universalité a donc une valeur idéal, comme elle n’est pas toujours atteignable, l'homme se contente, en société de généraliser, appliquant ainsi concrètement sa volonté de s’universaliser, et usent pleinement de son humanité, se sublimant. Elle a aussi mis en lui un penchant de s’isoler, l’homme a donc une nature dialectique. Cette nature dialectique le pousse aussi à créer, en surmontant ses propres frères que la nature a mis en lui. En créant, la société est en outre, aussi une création de l’homme, qui, animée par des conflits dialectiques, permet de les maintenir; et …… des formes …. et désirs de shootes pour leur permettre de se surmonter… La société, pour des valeurs qu’elle impose,
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