Constat sur l'évolution de l'homme dans la société

Constat sur l’évolution de l’homme dans la société :

Nous vivons dans de grandes villes surabondantes d’hommes et de biens.

l’homme civilisé à refusé de s’adapter a son environnement de base et a adapté son environnement à sa convenance.

Alors ils construit des villes , des routes, des autoroutes, des véhicules, des machines, diverses méthodes de communication pour ne plus se déplacer et pomper l’énergie du sol pour économiser son labeur.

L’homme dans son développement ne sachant pas s’arrêter à fait le constat que plus il faisait évoluer son environnement pour se facilité la vie plus il se la compliquait.

Maintenant ses enfants son condamnés à 10 ou 15 ans d’étude rien que pour apprendre à survivre dans le complexe périlleux où ils sont nés.

L’homme civilisé ayant refusé de s’adapter a son environnement découvre aujourd’hui qu’il doit s’adapter et se réadapter chaque jours au cadre de vie qu’il s’est lui-même donné sous peine de ne plus le comprendre et de plus pouvoir faire partie du cadre qu’il à lui-même créé.  

Une journée normale de début de semaine fait que dés que l’heure affiche 7h30 l’homme devra se lever et se désadapter de son cadre domestique pour se réadapter à un environnement totalement différent ‘’voiture, transports, foules …’’ à 8h00 il faut de nouveau se réadapter à un autre environnement dit ‘’professionnel’’, 10h30 on peu alors de calmer pendant 15 minutes et se désactiver pour se réactiver de nouveau et ainsi la journée est divisée en multiples segments qui oblige l’homme à s’adapter, pour de désadapter et enfin de réadapter sans arrêt jusqu’au soir ou il retrouvera son cadre domestique entouré de sa tribu énergiquement perturbées par les pressions subt des uns et des autres par l’obligation de s’adapter en permanence.

Comme des enfants trop gâtés qui s’ennuie paradoxalement de leur trop plein de routine et d’occupation alimente une entreprise inconsciente de lavage de cerveau mis en place par un gouvernement totalitaire dirigé par l’argent.

Pas question d’une survie individuelle mais bien d’une mise en sommeil collectif par le biais d’outils télévisuels pour obtenir l’assentiment robotique de tous.

Les grandes villes sont devenu des nouveaux camps de concentrations bâties par les détenus eux-mêmes qui deviennent leurs propres gardes très fiers de leur prison.

Un véritable état de schizophrénie à la fois gardien et détenu, d’où plus personne ne voit la réalité de la situation.

Fortement enquis té on ressent de la souffrance à vivre dans le système et en même temps l’on ne peut en sortir par inconscience, lobotomisé par la machine hypnotique on ne voit plus l’aspect carcéral.

La planète toute entière allant dans la même direction, à des degrés divers, on pense bien à partir pour finalement bougé d’une case à une autre et rester quoi qu’il arrive sur l’échiquier.

L’espoir existe néanmoins qu’il existe des poches de lumière en différents endroits du monde, des maquis, dirigés par des êtres lumineux détaché de l’emprise et libre de penser et de se mouvoir dans le bonheur, la sérénité et l’allégresse préparant une air nouvelle en partance vers la loi du cœur.

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