Commentaire, la phénoménologie de la perception
Commentaire de texte : Commentaire, la phénoménologie de la perception. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar rosaconleche • 4 Décembre 2018 • Commentaire de texte • 1 198 Mots (5 Pages) • 1 229 Vues
Explication de texte, Phénoménologie de la perception, Merleau Ponty,1945
Le dialogue, pour l’auteur c’est avant tout « échanger » ; mais notant que ceci rejoint
« l’expérience ».Cette expérience de dialogue, pour l’auteur est une réciprocité parfaite entre
moi et l’interlocuteur, il s’intéresse à cette interaction comme un lien, un terrain commun
entre moi et autrui. Ce dont on doit donc se demander est comment ce dialogue qui
représente une réciprocité parfaite peut aussi être aperçu comme un danger pour l’esprit.
Quand on ouvre notre esprit pour absorber les idées d’autrui avec le dialogue comme
intermédiaire, notre esprit peut recevoir une influence négative et même devenir corrompu.
Nous étudierons comment le dialogue peut avoir comme conséquence un terrain commun
réciproque idéal, après quoi, nous nous intéresserons, en juxtaposition, a comment autrui
peut devenir une menace.
Pour l’auteur « moi » et « autrui » sommes les éléments dont la somme constitue le dialogue.
Le dialogue est un échange ouvert, libre et sur dont moi et autrui participons. Le seul fait de
penser est , en sortes un dialogue avec moi-même dont autrui ou l'idée d'autrui est un
élément, mais il ne peut pas se manifester comme dans un véritable dialogue. Le dialogue
n'est pas que l'échange mécanique oral entre autrui et moi constitué de paroles dans l'air : une
conversation a besoin de moi et autrui, avec des pensées objectives, et des esprits ouverts a
les modifier ou changer complètement si nécessaire. Le dialogue suppose un exchange
exclusif d’idées objectives et non de conjectures ou on tombe dans le danger de la doxa.
Dans le dialogue on doit être ouvert aux idées d'autrui et ouvert aussi a changer de point de
vue et même d’idées si autrui me convainc et non me persuade. Le dialogue doit être ouvert
jusque au point ou les idées son externes et mêlées et moi et autrui ne cherchons pas une
hiérarchie d'idées ou séparation de pansées. Moi et autrui sommes dans une même quête
objective de réponses et vérité ou, que, pour trouver, on doit ignorer l'orgueil et les préconçus
et avoir le savoir comme seule cause pour l' avoir comme seule fin. Un dialogue n' est pas
une discutions, n' est pas une guerre, dans le dialogue ne se disputent pas doctrines ni
idéologies, mais plutôt s'analysant, se comparent, et s' étudient avec le but d'extrapoler la
meilleure partie de chaque idée et construire une nouvelle et améliorée thèse pour moi et
autrui, dont "ni autrui ni moi est donc le créateur" . C'est pourquoi l' auteur s' exprime d'un
"terrain commun" dont ni moi ni autrui est le propriétaire. Ill propose aussi la métaphore de
"un seul tissu" qui apparait grâce a la que les pensées de chaque interlocuteur s'entremêlent et
absorbent jusque a devenir une seule, organique et confluente. Le limite du dialogue est le
limite que la langue marque. On ne peut as dialoguer haut delà de ce que la langue me
permet de dire, permet a autrui de comprendre et l' inverse est aussi vrai. Je ne pourrai jamais
exprimer une idée si elle ne peut pas être transmise par la langue, par ses mots, sa syntaxe,
sémantique et systèmes. Le dialogue entre moi et autrui est relatif a ce que on peut exprimer
et comprendre grâce a la langue. La langue et autrui doivent être perçus comme des objets de
perception. La langue dit tomber dans le "terrain commun " pour que le dialogue marche ; la
langue rend le dialogue objectif car elle n'appartient plus ni a autrui ni a moi. Il s' agit d'un
outil de communication que on partage et donc non d'un outil de supériorité ou conflit.
Autrui et moi parlons et comprenons la même langue, on a déjà un point fondamental en
commun. On peut avoir des idées différentes mais on a cette " opération commune"
monoglote
...