BTS blanc, l'expérience épouvantable
Commentaire d'arrêt : BTS blanc, l'expérience épouvantable. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar boooy54 • 25 Janvier 2018 • Commentaire d'arrêt • 766 Mots (4 Pages) • 633 Vues
L’EXPÉRIENCE ÉPOUVANTABLE
Ce soir-là, j’étais en boite de nuit avec mes amis Androw et Jordan. Androw et moi, étions bourrés. Jordan est une personne qui aime s’amuser sans forcément boire. Il été 5h30, on se dirigeaient vers la voiture et c’est Jordan qui conduisait. Androw été installé à l’arrière et moi devant. La boite de nuit où nous avions été très loin de chez nous, à 3h de route environ. Il fallait que nous trouvions une station essence puisqu’il nous rester très peu de gasoil. Nous étions arrivés sur une route et aux alentours seulement un bois, nous roulions, pendant 10 minutes au moins quand tout à coup la voiture se mit à brouter. Nous étions en panne. C’est à partir de ce moment-là que le cauchemar commença… Je décidai qu’il fallait trouver une station essence au plus vite, on se sépara donc, Jodan pris le chemin de gauche, Androw celui de droite et moi je continuai sur la route principale. On s’était donné 1 heure pour se retrouver à la voiture. Je commençais à marcher quand tout à coup j’entendis un bruit ce qui m’a rendu inquiet, je continuai tout de même à marcher, quand soudain j’arriva dans une ville nommé Bizville. Je vis une station essence au loin, je n’avais qu’une hâte, c’était rentrer chez moi ! Je n’aperçus personne à la station, et la ville été totalement déserte, j’étais désespéré. Quand soudain, je vis une silhouette au loin. Je couru vers cette ombre tout en criant : « Eh vous ! J’ai besoin d’aide, mes amis et moi, sommes tombés en panne ! »
Arrivé à quelques centimètres de la personne, je remarquai qu’elle été vêtue de haillons, elle avait les cheveux en bataille, elle ne se tenait pas droite, elle n’avait pas de chaussures, des tâches de sang tombées sur le sol mais surtout une odeur abominable ! Tout à coup, cette chose, se retourna et là… Je n’en croyais pas mes yeux, j’étais littéralement sous le choc ! Je ne savais pas, si c’était l’alcool qui me provoquait de telles hallucinations mais je n’arrivais pas à savoir si cela été réel ou non. Un zombie se tenait devant moi, je me suis donc mis, à courir le plus vite possible et à hurler : « À l’aide ! Au secours ! ». Quelques minutes plus tard je pensais avoir semé le zombie, subitement, dans le brouillard dense, j’aperçu une orge de zombies, ils étaient au moins, une centaine. J’étais tétanisé, je ne savais pas quoi faire, mais eux s’approchaient de plus en plus, quand soudainement, j’entendis une voix qui me disait de courir, je suivis donc son commentaire. J’arriva devant une jeune fille, étrange, très étrange, elle portait une longue robe noire, un voile sombre, laisser légèrement entrevoir une partie de son visage balafré, elle me dit : « N’aie pas peur, je ne te veux aucun mal, je suis Bella, la gardienne de la forêt. Toi et tes amis partaient le plus loin possible de cet endroit et ne revenaient jamais ». Bizarrement, je ne le craignais pas, ainsi, elle m’indiqua le chemin à suivre pour que je retrouve ma route. Je retrouvai la voiture, Androw et Jordan m’y attendais.
- « Eh ben alors ? Où étais-tu ? Cela fait au moins 2 heures que l’on t’attend. Tu ne nous as pas entendu crié ton nom ? Androw a trouvé un bidon d’essence ! »
- « Non je n’ai rien entendu, mais je viens de vivre la situation, la plus effrayante et angoissante de toute ma vie ! Des zombies étaient à mes trousses, ils voulaient me dévorer ! Mais finalement, j’ai trouvé une jeune fille, c’est elle qui m’a indiqué le chemin jusqu’à la voiture ! Partons, vite, avant qu’ils ne nous retrouvent ! »
Nous décidâmes, de monter dans la voiture et reperdre la route. Le calme régné dans la voiture, personne ne parlait, nous étions épuisaient, surtout moi, après avoir vécu ce périple monstrueux. Quand tout à coup, un zombie se jeta sur le pare-brise du véhicule, puis un autre été sur le toit, un troisième se trouva à côté de moi, je n’eue même pas le temps de pousser un cri, qu’il m’a mordu […]
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