Autoportrait de madame Rezeau à la façon d’Arman

Autoportrait de madame Rezeau à la façon d’Arman

Valentine Richard - Héloïse Delagarde 3e2      

Si j'étais une passion, je serais les timbres. Car madame Rezeau possède un carnet ou elle collectionne des timbres qu’elle a acquis au fil des années et qu’elle garde précieusement à ses côtés.

Si j’étais un besoin vital, je serais des médicaments. En dépit du fait que madame Rezeau possédait des crises de vésicules lui créant parfois des évanouissements.

Si j’étais un objet que je garde à mes côtés, je serais des clefs. Puisque que madame Rezeau les porte et les emmène partout où elle allait, car celles-ci fermaient la porte de l’armoire qui contenait les plaisirs de ses fils. C’est une manière de les punir pour les embêter.

Si j’étais un accessoire, je serais un large chapeau cloche. Puisque que à son arrivée madame Rezeau en portait un et Jean a fait à la remarque que cela ressembler à un chapeau en forme de cloche à fromage. Elle en portait aussi aux occasions spéciales.

Si j’étais un objet à cacher, je serais un porte-monnaie. Étant donné que madame Rezeau voulait piéger son fils en cachant ce porte-monnaie avec une grosse somme d’argent dans la cachette secrète situer sous le parquet de la chambre de Jean afin de l’accuser pour vol, et par la suite l’envoyer dans un camp de redressement pour garçons.

Si j’étais une punition, je serais un coup de fourchette vu que à chaque fois que Jean était insolent avec madame Rezeau, elle le punissait en plantant une fourchette sur le dos de sa main, ce que désapprouvait monsieur Rezeau.

Si j’étais un aliment malsain, je serais le beurre. Du fait que madame Rezeau n’accepte pas le fait que ses fils en mangent car selon elle, le beurre est un aliment malsain et mauvais pour la croissance.

Si j’étais un vêtement, je serais un gilet. Dans la mesure où madame Rezeau en porte très fréquemment (comme nous avons pu le voir dans le film). C’est un habit qui est chaud et la plupart du temps à la belle Angerie, il faisait froid.

Si j’étais un objet pour rappeler ma famille à l’ordre, je serais une clochette. Vu que lorsque la famille Rezeau partait à la chasse, elle les appelée avec une petite clochette pour leur dire de rentrer à la maison.

Si j’étais un accessoire qui me tient à cœur, je serais un foulard. Car c’est ce que Marcel, son amant, lui a offert lors d’un de ses voyages et depuis elle le porte la plupart du temps à son cou.

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