Vendée Globe et écologie

HERLIN Guillaume                 2ème spécialité : HGGSP

Problématique : Vendée Globe et écologie : peut-on lier la meilleure trajectoire à la protection des océans ?

Introduction : Qui ne s’est jamais demandé ce qu’il y avait au-delà de ces étendues d’eau bleue ? Aujourd’hui, grâce à des cartes précises, nous savons où se trouvent les moindres îles, comment varient les courants, et quelles sont les zones en danger, trop polluées par l’activité humaine. Certains s’aventurent même sur ces océans pour éveiller les mentalités. D’autres le font même en pleine compétition : lors du Vendée Globe par exemple.

J’ai choisi cette question puisque nos océans sont en danger, leur faune et leur flore sont en péril, et il est plus que primordial de les sauver si nous voulons avoir un avenir sur cette terre. Aussi, je veux devenir avocat plus tard, et j’aspire à défendre ces mers et océans à ma façon.

Plan :

1. Oui il est possible de lier les deux

1. La meilleure trajectoire n’est pas forcément la plus polluante 🡪 point maths : grâce à un sextant : grâce à celui-ci, nous allons calculer notre position quasiment exacte sur l’eau. Pour commencer, nous notons l’heure TU et nous faisons quelques réglages pour éviter le plus possible les erreurs puisque cet instrument n’est pas précis à 100%. Ensuite, on lance un chronomètre et on prend le sextant et on regarde le soleil à travers la lunette. On descend le sextant jusqu’à pointer l’horizon sans jamais perdre l’astre des yeux. Grâce à des miroirs et l’ajustement du sextant durant la manœuvre, la mesure d’un angle nous est donnée sur un rapporteur directement sur l’outil. On note le temps du chronomètre pour prendre en compte le mouvement du soleil. Enfin, grâce à un calcul de cosinus et de sinus très complexe fait par des mathématiciens experts, une valeur est trouvée. On reporte cette valeur dans un tableau convertissant ces degrés en une latitude et longitude. Ainsi, nous trouvons notre position quasi-exacte sur l’eau et pouvons trouver la meilleure trajectoire sur une carte.
2. Les navigateurs travaillent avec des ONG de protection des océans

1. Non, il est impossible

1. Partir deux mois sur l’eau brouille les écosystèmes
2. Les sondes lâchées peuvent être des leurres pour les animaux
3. Que faire des sondes une fois mortes ?

1. Mon avis

1. Oui il est possible ! bateaux à voile + lien avec des ONG
2. Aide à préservations océans

Conclusion : Pour conclure, nous pouvons dire qu’il est aisé de calculer la meilleure trajectoire sur l’océan tout en préservant leur conservation grâce à des liens avec de nombreuses ONG luttant pour la préservation de ces étendues d’eau.

Travailler ce sujet m’a permis d’apprendre le fonctionnement d’un sextant tout en apprenant plus sur la navigation sur la mer. Je me suis aussi rendu compte que les maths que nous faisons en cours, malgré bien des critiques, nous servent à n’importe quel moment de notre vie.

« Un fleuve telle une artère redonne à la mer ce que la mer avait donné à la Terre » nous dit Axonezone, un poète français. N’oublions jamais que les mers et océans sont primordiaux pour les hommes, et que notre survie dépend de la leur.

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