Yasmin char, La Main de Dieu, extrait p. 113-114
Cours : Yasmin char, La Main de Dieu, extrait p. 113-114. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar jana1819 • 22 Octobre 2019 • Cours • 389 Mots (2 Pages) • 760 Vues
Yasmin Char, La Main de Dieu
Commentaire composé, extrait p. 113 à 114
Cet extrait se situe après un massacre de Palestiniens durant leur sommeil et précède le passage où la narratrice se rend chez son amant pour accepter sa demande de tuer.
Le personnage principal de l’extrait est la narratrice. Sa focalisation est interne et le temps de narration est principalement le présent de narration. L’extrait commence par l’histoire d’amour ratée entre ses parents. Ensuite, la narratrice comprit que son « visage de tueuse » est apparu lorsqu’elle était dans une salle remplie de personnes en deuil. Elle voulait savoir ce qui est arrivé à son ami Sami, avec qui elle a partagé sa « candeur d’enfance » mais tout cela avait disparu avec lui. Et l’extrait se termine par une allégorie de sa situation avec des vendeurs de colliers de fleurs, que personnes leur en achètent, alors ils finissent par les détruire. Cette allégorie montre que l’envie de destruction de la narratrice est causée par l’insouciance de son entourage envers elle.
En effet, ces citations « On était confiants, [...]le présent n’arriverait pas à nous attraper. » et « Les vendeurs ambulants […] pour qu’ils achètent leurs colliers. » sont une allégorie. Le comparé est la confiance de la narratrice et son ami et le comparant les « vendeurs » et leur confiance de vendre des colliers. Ensuite, la citation « Ils s’approchent […] leurs bras couverts de pétales immaculés » est une allégorie de la pureté de l’enfance. Mais avec la citation « Ils crient les noms des fleurs mais personnes ne soucie d’eux. », dont les « fleurs » sont une allégorie avec l’enfance de la narratrice, la citation montre que personne ne se soucie des sentiments de la narratrice. C’est alors que la citation suivante « De dépit, ils se débarrassent des colliers. Ils les jettent par terre en insultant les gens. » on comprend grâce à cette allégorie que la narratrice se débarrassent, comme les vendeurs avec leurs colliers, de sa candeur de l’enfance. C’est avec le rejet de tout le monde, que personnes se soucient d’elle (comme son père auparavant avec son « histoire d’amour raté »), que la narratrice n’en peut plus et arrive alors son envie de destruction et de vengeance qui montre qu’elle n’est plus aussi innocente qu’avant avec sa candeur de l’enfance.
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