Témoignage, Stienne
Commentaire d'oeuvre : Témoignage, Stienne. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar leopold clash royal • 29 Janvier 2018 • Commentaire d'oeuvre • 711 Mots (3 Pages) • 469 Vues
I . C
Témoignage : personne de l'ancienne génération,
1ere personne :
C'est une femme de 60 ans, ayant eu une situation sociale moyenne.
N'ayant que le bac, elle n'a eu aucun problème à intégrer l'électronique dans l'armée (un métier qu' elle aimé.) Elle a ensuite changé de voix sans difficulté pour être dans le médical (infirmière). Même si elle n'a eu aucune difficulté à s’intégrer dans la vie active, elle redoute le moment ou la génération d'aujourd'hui (les étudiants) essayerons d'entrer dans le monde du travail : « de nos jours, c'est plus comme dans mon temps. Les jeunes n'ont plus que leurs yeux pour pleurer. »
2nd personne :
Lise, est une femme d'environ 50 ans, venue d'une famille aisée, et possédant un bac + 5 et son concours d’enseignement, elle n'a eu aucun mal à vivre dans cette ancienne société et trouver un emplois stable dans la grande ville de Clermont. ( professeur en faculté) Elle cite « nous avons une culture différente que celle d'aujourd'hui. Les ados ont une culture plus large, et plus générale que nous dans l'ancien temps. Pourtant je suis convaincue, que ces jeunes ne savent pas se servir de ces innovations (informatique). Ils ne savent pas utiliser ces outils afin d'exploiter les savoirs, »
3ème personne :
Cet homme de 71, nommé Jacques, a suivit tout au long de sa vie une situation sociale normal, Il possède son bas + 5 et des concours (sans détail) . Il explique qu'a 25 ans il trouvé déjà en bon métier sans soucis, qu'il avait la « belle vie ». Il pouvait exercer un travail qui lui plaisait sans avoir de problèmes apparants.
Il pense que la génération de nos jours, représentent l'avenir, un avenir qui s'annonce difficile.
4ème personne :
Nous avons une femme, de plus de 60 ans, qui est aujourd'hui retraité, cependant, cela n'a pas toujours était le cas. Faisant partie de la classe moyenne, elle a obtenue son bac avec mention, et est entrée dans un travail dans la fonction publique. Elle pas choisit ce travail, c'est son père qui l'a : « obliger à rentrer dans la fonction publique. » Elle a tout de même une représentation peut positive de la jeunesse du XXI ème. « Ils n'ont aucun sens du mot 'ramer', il se voit être au service de papa\maman toute leur vie. Ils ne connaissent plus la politesse de nos jours, juste des gamins sans qualifications. Ils ne se rendent pas compte qu'ils ont la meilleure des qualités de vie. »
la suite après la pause;)
5ème personne :
Ici, c'est Maurice, un homme de 58 ans, qui nous donne son parcours, « je faisais partie d'une classe d'un niveau plutôt moyen, pourtant contrairement à mes amis d’époque, je n'ai pas réussi à trouver un métier... Enfin, je voulais absolument trouver un travail qui me plaisais, mais mon bac en économie social ne me permettait pas ceci . » Maurice a préféré rester au chômage. Aujourd'hui il nous donne ses inquiétudes pour les générations à venir, il parle d'une « guerre de travail ».
6ème personne :
Notre dernier témoignage est d'une femme, appelé Louise, de 80 ans. Elle nous explique qu'elle vient d'une famille aisée, n'ayant que le brevet, Louise n'a pas fait de grandes études. Pourtant, elle nous dit : « Un travail ? Avec mon époque, je n'ai eu qu'à claquer des doigts, et me voilà dans le commerce […] C’était un domaine qui me plaisait énormément. » Lorsque qu'on lui parle de l'avenir des jeunes elle répond : « C'est une chose de vouloir réussir, d'avoir de l'ambition et de l'envie ; mais c'est une autre chose de pouvoir les exercer. »
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