St Marc Girardin réagit à la révolte des canuts Lyonnais
Thèse : St Marc Girardin réagit à la révolte des canuts Lyonnais. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Youss Alg • 15 Janvier 2020 • Thèse • 764 Mots (4 Pages) • 1 088 Vues
Analyse de document :
St Marc Girardin réagit à la révolte des canuts Lyonnais
Durant le XIXème siècle, un nouveau phénomène apparaît, il s’agit de l’industrialisation. Ce texte est l’extrait d’un article paru dans le journal des Débats le 8 décembre 1831. Le document nous situe après l’insurrection des Canuts. St Marc Girardin tient comme destinataire la classe moyenne. Le but de cet article est de faire réagir la classe moyenne.
Tout d’abord, nous nous demanderons comment ce texte analyse les problèmes que la « question sociale » dans la monarchie de juillet et les solutions qu’envisage l’auteur pour y remédier. Nous verrons d’abord comment st marc Girardin aborde la « question sociale », puis nous étudierons sur une première solution, et puis nous analyserons une solution contraire à la précédente solution.
Tout d’abord, st marc Girardin voit les prolétaires comme des esclaves, les compare aux esclaves de st Domingue, pour lui, les prolétaires ne sont que de choses qui ne fait que d’enrichir la société moderne. Mais ce n’est pas la seule comparaison faite aux prolétaires. En effet, il compare les prolétaires à des Barbares, tout d’abord parce que les prolétaires ne savent pas réellement ce qu’ils veulent, mais aussi parce qu’il ne les considère pas comme une partie de la société moderne.
Ensuite, l’auteur souligne la condition de vie des prolétaires en indiquant leurs souffrances qu’ils subissent durant leurs travailles. Leur condition de vie est tellement déplorable qu’il les compare aux esclaves de st Domingue.
St Marc Girardin va jusqu’à se mettre à leur place et comprendre leur raison à s’attaquer la bourgeoisie, c’est ce qui les rend dangereux aux yeux de la société moderne.
Enfin, l’auteur nous donne les raisons pour laquelle les prolétaires sont un danger pour la société moderne, il dit tout d’abord que leur premier avantage est le nombre de prolétaires qui les rend alors plus fort que les autres classes mais aussi à cause de leurs situations déplorables et puis il dit « ils souffrent la misère, les écrase, comment ne chercheraient-ils pas une meilleure condition ? »
C’est parce qu’ils sont au fond du gouffre qu’ils sont dangereux.
St marc Girardin aborde la « question sociale » avec deux solutions, il propose et introduit la classe moyenne.
En premier lieu, la classe moyenne court un risque s’il ne s’allient pas avec la classe supérieure, car dans l’ordre, la classe moyenne se retrouve tout juste au-dessus des prolétaires donc ils viseront en premier la classe moyenne. A part si la classe moyenne s’allient avec les prolétaires et leur donnent des armes mais après ils seront considérés dupe et se ruineront. Alors que s’ils s’allient avec la classe supérieure, ils continueront leur devoir de propriétaire et tout reprendra leur cour normale.
En second lieu, il est dit que la classe moyenne ne doit pas prêter attention aux prolétaires et donc ne pas leur donner les armes car les prolétaires envahiront la société moderne, c’est à dire « la garde nationale, dans les institutions municipales, dans les lois électorales, dans tout ce qui est l’État ».
La classe moyenne est considéré comme une part de la société moderne donc ils veulent le maintien de la société mais s’ils donnent des droits politiques, ce serait contre le maintien de la société.
...