Le meilleur des mondes

Bernard Marks (Alpha-Plus) : Petit et gras, il est différent des autres Alphas et ressemble plus à un Gamma. Une rumeur court comme quoi de l’alcool aurait-été injecté dans son pseudo-sang, ce qui expliquera cette différence. Il souffre de sa laideur et de son inadaptation, il est malheureux. Il est détaché de son milieu et lui trouve des défauts. Asocial au début de l’histoire, il devient populaire grâce à un « Sauvage », avant de retomber brutalement à son quotidien d’homme seul. Il est l’exemple même des failles de la société.

Lénina Crown (Bêta-Plus) : Très belle, avec beaucoup de charme, elle ne remet pas en cause les lois de la société, mais pousser par l’amour, elle est bien souvent tenter de les franchir. Elle est qualifiée de fille « pneumatique », c'est-à-dire, considérée comme une poupée gonflable améliorée. Dans le roman, elle est attirée par trois hommes : Henry, Bernard, puis John.

Helmholtz Watsen (Alpha-Plus) : Beau et sportif, il incarne la réussite même mais pourtant, il ne se plait pas dans ce monde, son excès d’intelligence le différencie des autres. Egalement incompatible avec ce monde, il est proche de Bernard.

Linda (Bêta) : Elle est difforme, dégradée par l’alcool, vieille, très obèse, elle n’a pas vécu dans son milieu mais dans une réserve pour « Sauvages ». Elle à donner naissance à un fils.

John, le « Sauvage » : Beau et intelligent, il a environ 20 ans. Né de façon naturelle, il est le fils du Directeur et de Linda. Il a grandit dans la réserve et idéalise Londres. Mais il découvre rapidement la dure réalité de cette ville. Il lit beaucoup Shakespeare. Il est attiré par Lénina. Il a quelques défauts, comme la chasteté poussée à l’extrême, la perte de...

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