L'historien et les mémoires de la Seconde Guerre Mondiale

Introduction : la notion de mémoire a une histoire , elle fait référence au souvenir ou aux représentation du passé dont son porteur les individus . Souvenir de violence de guerre , de violence politique , de vie quotidienne. Cette mémoire s'entretient ( commémorations les jours férié , les monuments aux morts , les musées, l'enseignement de l'histoire, ou alors des lois nommé mémorielles.On peut dater finalement l'émergence de la notion de mémoire vers la fin des années 70. Pierre Nora est un historien qui a écri un livre sur les lieu de mémoire (pou lui : souvenirs ou ensemble de souvenirs vécu ou mythifiée par une collectivité vivante, par un village par exemple )

Le passée laisse des traces susceptible d'unir ou de diviser les hommes. Les mémoires peuvent etre douloureuses , passionnés et même partielles. Ces mémoires sont discours et une représentation objective du passée qui donne du sens au présent . Le présent est toujours illuminé par le passé.

En quoi les mémoires de la seconde guerre mondiale soulève t'elle des enjeux politiques importants ? Comment évolue les mémoires en france ?

I) les mémoires entre division et unité

1- Les questions de la Libération

Pour le partie communiste , il faut mettre en avant ces 75000 fusillés avec surtout des figures (Guy Moquet, son père est député et Guy Moquet s'engage dans la résistance pour des valeurs de démocratie, il est arrêter et fusillé avec 20 de ces camarrades , il est pris pour exemple car il a écrit une lettre à sa mère en disant qu'il ne regrettait rien et qu'il faut continuer le combat.

2- Réconcilier le pays par la lois

1945 : l'épuration sauvage ( l'affaire des femmes tondus , ceux qui ont collaborés) , des citoyens jugent d'autres citoyens. Cela s’arrête très vite avec l'épuration légale ( De Gaulle qui charge des juges , pour savoir la vérité)

Pierre Laval est exécuté , Phillipe Petain est condamné à mort mais il ne sera pas exécuter car il a lutter contre les allemands en 1917.
L'état réfléchis aussi à des processus de réconciliation, c'est ce qu'on appelle les lois d'annistie ( 46,47,53) .Pour et etat il faut effacer les divisions de la guerre et conserver ainsi l'unité de la nation.

Il y a deux mémoires. Pour( les communistes , ils ont joué un rôle dans la résistance intérieur et dans la lutte clandestine.Pour les gaullistes  ils ont libéré la France, pour eux le débarquement américain en Normandie n'est que secondaire.

3- Des oublis , des silences

La mémoire de la déportation raciale émerge très difficilement car les rescapés des camps d’extermination adoptent le silence face à une société qui n'est pas prête à les entendre. L’atrocité dans les camps ets bien difficile à comprendre pour ceux qui n'ont pas connue, la parole des résistants l'emporte largement sur celle des déportés raciaux.

Tous les français ne représentent pas l'image du France héroïque et résistante, certains même cherche à réhabilité le régime de Pétain en affirmant qu'il a joué double jeux pour protéger les français.C'est l'historien Robert Aron défend cette thèse dans son histoire de Vichy en 1954 qui ets donc l'ouvrage de référence jusqu'aux années 70.

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