"le dernier jour d'un condamné" introduction
Commentaire de texte : "le dernier jour d'un condamné" introduction. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar za21 • 18 Mars 2020 • Commentaire de texte • 343 Mots (2 Pages) • 5 694 Vues
Introduction :
Texte engagé, Le dernier jour d’un condamné est une œuvre de Victor Hugo datant de 1829. Elle met en avant l’inutilité de la peine de mort et la volonté de l’auteur de l’abolir. Issu du mouvement romantique, ce roman témoigne des ressentis mais aussi de l’expérience de solitude d’un homme condamné à mort. L’extrait présenté ici est l’incipit de l’œuvre. Il donne aux lecteurs une première impression de la manière dont Victor Hugo a construit son livre.
Quels sont les objectifs de Victor Hugo ?
Dans un premier temps nous analyserons les désirs de l’auteur d’exposer l’histoire d’un homme dont nous ne connaissons ni l’identité ni les actes jugés. Puis, nous étudierons la sensibilité que Victor Hugo souhaite faire ressurgir chez ses lecteurs.
conclusion :
Victor Hugo souhaite faire passer un message à la société. Afin de développer ses intentions, nous avons analysé la volonté de celui-ci à décrire la vie du narrateur inconnu. Puis nous avons cherché à comprendre l’intérêt de Victor Hugo à toucher ses lecteurs notamment en Suscitant la compassion et la compréhension mais surtout l’envie d’agir à l’encontre de cette ignominie. suscitant la compassion et la compréhension mais surtout l’envie d’agir à l’encontre de cette ignominie.. De plus, cet incipit Permet d’instaurer une situation de contexte exposant le sentiment de torture qui habite le narrateur ainsi que la transformation d’une vie paisible « d’un homme comme un autre homme »À une vie en captivité avec entre guillemets qu’une pensée, À une vie en captivité avec « Qu’une pensée, aucune conviction, qu’une certitude : condamné à mort ».
Nous pouvons établir un lien avec l’ouvrage, publié en 1764 de César Beccaria intitulé Des délits et des peines. Inspiré par les philosophes des lumières et de l’actualité de l’époque, l’auteur remet en cause de manière globale le système judiciaire en dénonçant la cruauté de certaines peines comme la torture et la peine de mort qu’il juge « barbare ». Très hostile à celle-ci, Beccaria qualifie la peine capitale qui est « ni utile, ni nécessaire », de « crime judiciaire »
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