Travailler la réécriture

Dominante : orthographe

Objectif      : travailler la réécriture.

1- Réécrivez cette phrase au présent de l’indicatif.

  Les galets sur la plage étaient charriés par vagues successives qui les emportaient pour mieux les rapporter.

2- Remplacer « la mer » par « les flots » et procéder à toutes les modifications.

Lentement, la mer montait, recouvrant de son miroir les châteaux de sable, dévastant de sa rage les remparts édifiés par des enfants appliqués à changer le cours des choses.

3- Réécrivez cette phrase au futur, puis au plus que parfait de l’indicatif.

Inexorablement, alors que le soleil battait en retraite, l’eau épousait le feu dans un horizon d’apocalypse où s’embrasaient les relents d’embruns dispersés.

4- Réécrivez cette phrase au passé simple.

Deux ombres glissaient sur la digue endormie et de leurs bras réunis fermaient pour la nuit l’espace infini du mystère.

5- Réécrivez cette phrase au passé composé de l’indicatif en remplaçant « je » par elles.

Je regardais assis sur un banc de pierre, les mains à plat sur mes genoux, la terre s’assoupir.

6- Réécrivez cette phrase au plus-que-parfait de l’indicatif.

Peu à peu, le murmure sourd du silence enveloppait d’ouate les polyphonies diurnes tandis que le temps en suspens effaçait le décompte de ses rugosités horaires.

7- Réécrivez cette phrase en remplaçant « je «  par « vous » et en effectuant les modifications nécessaires.

J’avais du mal à m’arracher à cette trêve vespérale malgré le froid qui m’envahissait progressivement.

8- Réécrivez cette phrase en remplaçant « je » par « nous ».

Un frisson pourtant, me parcourut, qui m’obligea à me lever, pendant que je fermai ma veste et enfonçais mes mains dans mes poches.

9- Réécrivez cette phrase au futur de l’indicatif en remplaçant « je » par « tu ».

Je jetai un dernier regard attendri au spectacle de la nuit et empruntai le chemin du retour, mon pas lourd et traînant emportant les traces du jour.

10- Réécrivez cette phrase en remplaçant « je » par « elle ».

La tête pleine des images passées, j’avançai tel un automate, et me retrouvai bientôt devant ma porte sans avoir eu conscience du trajet parcouru.

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