SARTRE, LES MOTS, COMMENTAIRE

En 1964, Jean Paul Sartre écrit « Les Mots ». C'est l'autobiographie de sa vie. Né à Paris en 1905, il fut un des auteurs les plus fameux du XXe siecle.

Le courant de « Les Mots » est l'existanctialite, et d’ailleurs sartre en sera le représentante.

Dans ce livre, Jean Paul Sartre raconte son enfance jusqu’à l'age d'onze ans. Ce livre est divisé en deux parties : « lire » et « ecrire », car ce sont les deux evenement les plus marquants de l'enfance selon lui.  L'extrait que nous allons étudier ce situ dans la partie « ecrire ». Celui-ci parle du jour ou Sartre est allé chez le coiffeur, ce couper les cheveux pour la premiere fois.

Nous allons traiter la problématique suivante : Comment l'auteur provient à un constat ironique dans ce texte ?

A travers l'etude de cet extrait, nous allons mettre en evidence dans un premier temps, que la famille de Sartres vit dans l'illusion du bonheur. Puis dans un secod temps, l'amère et l'ironique découverte de la vérité.

 En effet des les premieres lignes, nous pouvons constater que la famille et la vie de jean paul  Sartre semble tout a fait normal. Ainsi, Sartre permet une illusion du bonheur dans celle-ci, qui semblerait « presque parfaite ».

    Il evoque les souvenir de son enfance.  Et en particulier celui du rite initiatique qu'il vit à l'age de 7 ans, en l’occurrence ce couper les cheveux. Sartre est alors accompagné de son grand-père, qui d’ailleurs semble proche de lui «il me prit par la mais ».  Mais encore, afin d'accentuer l'illusion de cette famille « parfaite », Sartre utilise un lexique laudatif, plutot élogieux, permettant un effet de faux semblant et d'artifice  « cachotteries → amusées ou vertueuses » ;« cadeaux → inattendus » ;  «  revelations → théatrales » .  Jean paul Sartre nous fait donc une description elogieuse de sa famille.

Ce qui nous amène à penser que jusqu’ici, la famille de Jean  Paul Sartre pourrait etre presque « parfaite » pour un petit garcon de 7 ans.

      Dans cet extrait, sartre met en avant le goût des surprises et des fins heureuse. En effet, nous pouvons le voir de part le lexique vu ci-dessus, mais encore par la repetition intense du mot « surprise » : «nous allons faire une surprise à ta mere »,« j'adorais les surprises ». Les surprises rythmaient la vie de petit garcon que fut Jean Paul Sartre «il y en avait tout le temps chez nous » « c'etait le ton de notre vie », de plus, le rite initiale qu'il s’apprête a faire fut aussi une surprise de son grand pere.

Cela introduit une fois de plus, une illusion de bonheur.

     Sartre, decrit sa famille de facon tendre mais a la fois ironique de part un jeu theatrale.  Sartre vint en effet à parler d'un souvenir entre son oncle Auguste et Karl, ceci va alors créer un deuxieme récit enchâssé, dans lequel ce trouvera un dialogue et une scène burlesque. De plus, le mot « théatre » aparait plusieurs fois « révélation théatrale » « les coups de théatre » .

Ces differentes facons d'introduire sa vie, et sa famille, nous confirme la volonté que sartre a de faire passer son enfance, comme un bonheur au quotidien.

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