Questions sur Voltaire Mélanges, Pamphlets et œuvres polémiques

1. Son fort caractère se révèle dans la forme de ses phrases (rafale de questions, phrases longues, l. 24-28), avec des anaphores (« N’est-ce pas… ? »), des exclamations (l. 17, 34) et des termes violents (presque des injures : « des imbéciles »).

Elle n’hésite pas à parler des réalités de la vie des femmes, la grossesse (« une maladie de neuf mois »), l’accouchement et ses « grandes douleurs », les règles (« des incommodités très désagréables », « ces douze maladies par an »).

1. Elle utilise comme argument que l’auteur du livre est très impoli est que par ailleurs le maréchal ne lui aurai jamais parlé d’une tel manière et qu’un homme de tel augure doit être difficile à vivre au quotidien.
2. La maréchale donne une condition féminine de son époque très difficile à vivre, elle exprime de la souffrance à être une femme et parle de la douleur d’une grossesse, de ses règle elle parle de ceci comme si c’était une maladie durant 12 mois, que quand l’enfant serait née si c’est un homme il plaidera contre elle. De plus celle-ci sont soumise à l’homme et ne sont pas vraiment libre d’elle-même, à part elle qui est « libre » (elle trompe son mari, et accepte que lui la trompe) elle a un franc-parler et ne le cache pas.
3. Le narrateur utilise ces termes car il veut montrer que malgré son combat d’insoumise elle l’est quand même. Parce que « on lui donna » puis  « on lui fit lire » sont pour moi des ordres, elle pouvait refuser mais s’est prêté au jeu de découvrir ce que les hommes pensent et qu’ils ne sont pas tous pareil.

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