Morphosyntaxe

ATALA est une roman qui est  inspiré  par le voyage effectua par François renée de chateaubriand  en Amérique du nord à l’époque de la révolution. Dans lequel il a rencontré un Vieil indien nommé chactas et celui qui va le raconter l’histoire d’amours de deux personnages : Atala et chactas.

Atala divisé en 6 parties :

Le roman de Chateaubriand commence par un prologue dans lequel l'auteur décrit en quelques pages le lieu de la scène. Le Meschacebé (nom plus harmonieux du Mississipi) nous apparait dans toute sa majesté et donne lieu à un tableau où l’auteur a prodigué ses plus riches couleurs. Après ce tableau ravissant, s'ouvre le récit.

ensuit, dans la deuxiéme partie (les chasseurs) Chactas raconte à René ce qui lui arriva quand il ne comptait que dix-sept chutes de feuilles. Son père, le guerrier Outalissi, de la nation des Natchez, alliée aux Espagnols, l'avait emmené à la guerre contre les Muscogulges, autre nation puissante des Florides. Outalissi, ayant succombé dans le combat, Chactas courait le risque d'être enlevé pour les mines de Mexico, lorsqu'un vieil Espagnol, Lopez, s'intéressa à lui, l'adopta et essaya de l'apprivoiser à la vie civilisée. Mais, après avoir passé trente lunes auprès de son protecteur, Chactas fut saisi du dégoût de la vie des cités. Un matin, il revêt ses habits de sauvage et va se présenter à Lopez l'arc et les flèches à la main, en déclarant qu'il veut reprendre sa vie de chasseur. puis Il est fait prisonnier par une tribu ennemie qui le condamne à mort. Une jeune indienne d'éducation chrétienne, s’apelle Atala, le libère. Ils se sauvent ensemble dans la forêt et rencontrent un missionnaire : le père Aubry.

Après dans la troisième partie (les laboureurs), atala et chastas sont trouvés pendant l'orage, par le père Aubry, un vénérable missionnaire qui a fondé, près de là, une colonie d'Indiens convertis au christianisme.  Le père Aubry emmène les deux sauvages dans sa cabane, il a proposé d’instruire chactas dans le respect de la religion chrétienne avant de les marier. Chactas séduit par cette vie stable et occupée, supérieure à la vie sauvage grâce au christianisme, il s’est imaginé couler des jours heureux dans ce village avec Atala.

Puis, pour le quatrième partie (le drame), Atala étendue dans les ténèbres, fiévreuse et mourante. Elle est leur  révélé alors son secret : sur son lit de mort, sa mère lui avait fait promettre de rester vierge pour remercier dieu de l’avoir épargnée à sa naissance car celle-ci fut fort difficile. Elle en fut bouleversé car elle avait commis l’irréparable : afin de ne pas trahir sa parole,le désespoir de chactas fut immense et le père Aubry fit son possible pour accompagner au mieux Atala dans la mort,lui assurant que dieu lui pardonnerait son acte et qu’elle n’avait à regretter ni ce monde, qui n’était que souffrancen ni l’amour humain, inconstant et illusoire, juste avant de mourir.

Pour le cinquième partie (funérailles) c’est la description de funérailles de Atala, chactas, fou de douleur, s’est laissé peu à peu apaiser par les mots simples et les gestes amicaux du vieil homme. Ensemble, ils convinrent du meilleur endroit où ensevelir le corps d’Atala. Puis, le père Aubry est dissuadé Chastas de rester à ses cotés, l’incitant plutôt à repartir vers sa ptrie pour retrouver les siens. Il se mit donc en route, non sans avoir rendu un dernier hommage à sa bien-aimée.

Enfin dans la dernière partie (l’épiloque), chactas, qui dit tenir cette histoire d’un indien siminole, en souligne les enseignements et vante les vertus du christianisme. Il a rencontré la petite fille de René qui lui a raconté que des chéroquois, hostiles aux francais, avaient envahi la mission du père Aubry, que celui-ci était mort sur le bucher en priant pour le salut des ames de ses bourreaux, et que Chactas était alors retournésur les ruines de la mission pour rapporter les ossements du vieillard et ceux d’Atala.

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