Mon résumé de Si c'est un homme de Primo Levi
Dissertation : Mon résumé de Si c'est un homme de Primo Levi. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar meg_mgrt • 28 Octobre 2015 • Dissertation • 1 625 Mots (7 Pages) • 3 209 Vues
Mon résumé
Chapitre 1 – Le voyage
Prisonnier de la Milice fasciste depuis le 13 décembre 1943 (il avait 24 ans). Il prend la route de la montagne avec des amis puis est arrêté. Il se dit « citoyen italien de race juive » et est déporté à Fossoli dans un camp d’internement en janvier 1944. A son arrivé → 150 juifs italiens, quelques semaines après → + de 600. 20 février : inspection des camps par les Allemands. 21 février au matin : ils partiront des camps le lendemain → destination inconnue. Durée voyage : 15j. Risque → si 1 juif manque à l’appel, 10 seront fusillés. 22 février : les 650 juifs sont là, montent dans des autocars direction gare de Carpi. Montent dans le train et ils sont tous frappés. Destination → Auschwitz. Ils pensaient mourir mais arrivé à Auschwitz, selon leur âge et état de santé ils sont dirigés dans des camions différents. Le narrateur fait partis des hommes valides (ils survivent) les autres ont été tué dans des chambres à gaz.
Chapitre 2 – Le fond
Durée du voyage : 20 min. Ils rentrent dans une pièce froide. Ils ont soif mais ne peuvent pas boires. Un SS entre et ordonne aux hommes de se déshabiller entièrement. 4 hommes armés entre avec des pantalons et vestes rayés avec un numéro cousu dessus. Ils les rasent. Avant de s’habiller ils prennent une douche. Le narrateur est sur qu’il s’agit d’un plan des Allemand pour les humilier et qu’ils vont tous mourir. Lieu : Monowitz. Ils sont dans un camp de travail. Ils passeront la nuit nue et on leur tatouera un numéro sur le bras gauche le lendemain. Désormais ils sont tous identiques, même chaussures, même vêtements, crâne rasé, seul leur numéro les différencie. Le nom du narrateur est 174 517. Il explique comment est constitué le camp et ses règles. Il y a 3 catégories de personnes à Lager : les prisonniers de Droit commun, les prisonniers politiques et les juifs. Ils connaissent des conditions de vie et de travail invivable : « sortir et rentrer, dormir et manger ; tomber malade, guérir ou mourir. ». Cela fait 15 jours que Primo Levi (le narrateur) est dans le camp de Lager et il est méconnaissable tout comme les autres Italiens, et sont de moins en moins nombreux.
Chapitre 3 – Initiation
Primo Levi est désormais dans le block 30. Il n’arrive pas à communiquer avec les autres car il y a trop de langues différentes. Il réexplique les conditions monstrueuses dans lesquels il vit. Il en vient même à ne plus se laver, car l’eau est si immonde qu’il dit ne pas se laver mais s’encrasser encore plus, un rituel qui finirait par le tuer. L’hygiène n’existe plus et n’a plus d’importance, une des autres prisonniers dit de se laver car même si ce lieu « créer des bêtes il ne faut pas vivre comme des bêtes, et vouloir survivre » il faut rester un homme car c’est ce qu’ils sont.
Chapitre 4 – K.B
Levi ne sait plus quel jour il est. Il parle d’un Null Achtzehn ou « Zéro dix-huit », un homme qui n’en est plus un qui vit sans émotions, sans traits, il est indifférent de tout : « lorsqu’on l’enverra à la mort, il ira avec la même indifférence ». Il rêve dans le wagon, il rêve de liberté. Pendant qu’il travail, Levi se blesse le pied. A bout de force les SS l’amène sur un lit. Il retire sa chaussure et son pied est en sang et infecté. Il va au K.B → abréviation d’infirmerie. C’est la première fois qu’il y va. Après des heures d’attente nue il est dans la couchette 10 qui est vide. Il s’endort en 10 min. Il reste 20 jours à la baraque de repos. Ils parlent avec les autres et découvre ce que sont les chambres à gaz avec les fours crématoires. Un soir 2 SS viennent dans la baraque de repos et un de ses compagnons est « sélectionner » par les SS → il va mourir → chambre à gaz. Primo Levi se rend compte qu’il ne peut plus rester sans travailler car il se perd dans ses pensés → pas de moral.
Chapitre 5 – Nos nuits
Levi sort du K.B → block 45. Il parle de son ami Alberto qu’il a retrouvé dans le block. Il entame alors les nuits de cauchemars qu’il a dans le camp : le bruit, lorsqu’il ne trouve pas le sommeil, ses angoisses. Il parle à nouveaux du fameux rêve de la nourriture. La « faim chronique ». C’est un rêve que font tous les prisonniers : voir la nourriture mais ne pas pouvoir l’atteindre pour la manger. Un rêve qu’il fait souvent → sortir de cet endroit immonde pour retrouver ca famille et raconter ses douleurs → rêve de liberté → rêve de vivre.
Chapitre 6 – Le travail
Levi est avec un français → Resnyk → aide beaucoup Levi au travail, il lui allège ses tâches. Levi raconte sa journée de travail (identique aux autres descriptions).
Chapitre 7 – Une bonne journée
Fin de l’hiver, ils ont moins froid et aperçoivent le soleil
Chapitre 8 – En deçà du bien et du mal
Levi détails et explique comment survivre grâce aux combines, aux vols par lesquels chaque prisonniers est obligé de passer pour rester envie et ne rien lâcher. Il parle d’un coin particulier du camp où il y a une sorte de trafic → tout s’échange. Il parle du trafic indispensable aux prisonniers → voler à la Buna.
...