Les prisons pendant la guerre d'espagne
Étude de cas : Les prisons pendant la guerre d'espagne. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar sisiayy • 24 Février 2017 • Étude de cas • 895 Mots (4 Pages) • 725 Vues
Aurélien
Louis Aragon,
1944
I – Un incipit qui joue avec le topos de la scène de rencontre.
A – Première page, Première rencontre
B – Le renversement du topos de la scène de première rencontre
II – Plonger le lecteur dans l’intériorité du personnage : la confusion des sentiments
A – Du rejet de Bérénice à l’obsession à son égard
B – Un sentiment amoureux qui s’ignore
C – Au fil des pensées d’Aurélien : l’écriture du flux de conscience
Intro : L’incipit d’Aurélien, roman écrit en 1944 par Louis Aragon, associe le début du roman à l’évocation d’une première rencontre entre le personnage masculin éponyme et une jeune femme nommée Bérénice. On pourrait penser ainsi qu’il va ainsi remplir de manière traditionnelle les fonctions d’un incipit romanesque en reprenant le topos littéraire de la scène de première vue. Or, ce roman est écrit dans un contexte de recherches et de volonté de renouvellement des formes romanesque. Tous d’abord, ce texte, qui n’est pas tant le récit de la rencontre que celui de ces échos dans la conscience du personnage, déroute le lecteur parce qu’il prend à revers toutes les attentes liées au topos littéraires de la scène de première rencontre. Ensuite, il déroute le lecteur parce qu’il semble éviter les voix, et les voies, de la narration traditionnelle puisqu’Aragon choisit de plonger et d’immerger directement le lecteur dans la conscience du personnage principal. Cette désorientation est enfin renforcée par le rapport qui s’instaure avec un grand classique de la littérature française : la tragédie Bérénice (1670) de Jean Racine
I.A : Suter est présenté comme ce qu’il est , c à d un veille homme
• D’où la polyptote ‘’vieillard’’ l4 , ‘’veille carcasse’’ l5
• Ceci créer une antithèse avec la jeunesse des enfants qui se moquent de lui et désigné par un voc facilité : ‘’un môme de 7ans ‘’l7, ‘’petit copain’’l27, + l20,29
• Il est un vieillard sénile et le jouet des enfants qui lui font croire à son indemnisation
• Sa démence notée par le narrateur l3’’sa tête est vide ‘’+ parole style direct l7
• Il n’est plus conscient => phrase négative L20 ‘’ Suter ne remarque pas 7 voyou’’
I.B : La manière dont est désigné le héros montre le visage ironique entre ce qu’il a été et ce qu’il est
• Il est nommé 3 fois L11, 15,20 ‘’Suter’’, 10 fois par son grade de général
• C’est d’ailleurs le dernier mot du poème l32 ‘’ cadavre du général
• L26 désigné par son titre, prénom, et nom comme dans une notice nécrologique
• Dialogue
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