Lecture analytique n°17 : « Marseille », Supervielle – Débarcadères, 1922
Fiche de lecture : Lecture analytique n°17 : « Marseille », Supervielle – Débarcadères, 1922. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar MARRAZAF • 12 Juin 2018 • Fiche de lecture • 275 Mots (2 Pages) • 4 585 Vues
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Lecture analytique n°17 : « Marseille », Supervielle – Débarcadères, 1922
Intro : « Marseille » est un extrait du livre Débarcadère. Dans ce poème on retrouve le thème du voyage, le voyage étant une source d’inspiration pour que l’auteur se retrouve avec sa muse ici c’est sa ville natale est aussi une muse.
Comment le poète fait-il l’éloge de Marseille ?
- La métaphore marine
- De la ville à la divinité marine
- « sortie de la mer » on parle ici de Marseille
- Personnification de Marseille comme si elle pouvait se lever
- On pourrait ici faire un rapprochement avec venus qui sort de l’eau
- Un parallélisme entre Marseille est Vénus/Aphrodite
- « avec ses poissons de roche, ses coquillages et l’iode » : rythme ternaire, ce sont des produits de la mer qui ici constituent Marseille
- L’imprégnation du monde humain par le monde marin
- On peut ainsi parler du port et de la ville
- V.2 « et ses mâts en pleine ville » illusion d’optique
- On observe dans ce vers (2) que l’auteur mélange le monde humain et marin il fait en sorte qu’il ne fasse qu’une seule foule / concert de paroles
- « ses tramways avec leurs pattes de crustacés » mélange d’une invention humaine avec un animal de la mer ; machine/animal
- « sont luisant d’eau marine » + une notion de matière aux impressions visuelles
- « un bruit de pieds et de chaises frétillantes » : les chaises devenues des poissons/ animalisation marine
Dans ce poème l’auteur mélange tout, tout ne fait plus qu’un la monde marin se mélange au monde humain
- L’humanisation de la nature
- Transformation du quotidien
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