Lecture analytique Thérèse Raquin
Commentaire de texte : Lecture analytique Thérèse Raquin. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Mamapois • 6 Décembre 2018 • Commentaire de texte • 556 Mots (3 Pages) • 877 Vues
Lecture analytique
Dans cette lecture analytique, nous étudierons un extrait du chapitre 2 de Thérèse Raquin, roman écrit par Émile Zola en 1867 qui nous présente le personnage éponyme dans un portrait très contrasté.
Dans cet extrait, nous chercherons à comprendre en quoi Émile Zola illustre-t-il la théorie naturaliste selon laquelle un individu est influencé par le milieu dans lequel il évolue.
En premier lieu nous montrerons en quoi le personnage as-tu une enfance et une vitalité bridé par l’éducation qu’elle a reçu.
Et dans un second temps, nous soulignons son animalité sous-jacente.
Dans ce paragraphe, nous analyserons en quoi Thérèse Raquin a une enfance brisée.
Dans l’extrait nous pouvons discerner trois catégories qui montrent que sa vitalité est contenue.
Physiquement, Thérèse subit beaucoup de changements à partir du moment où son père, le capitaine Degans la confie à sa tante. En arrivant d’Algérie, c’était une jolie fille en pleine santé « ses joue rose » ; puis elle devient de plus en plus laide « ça fasse pris des teintes pâles, légèrement jaunâtre ».
De plus, physiologiquement nous pouvons dire que Thérèse est drogué puisqu’elle prend beaucoup de médicaments, les mêmes médicaments que doit prendre son cousin malade, Camille, alors que la fillette a une santé de fer. Je cite : « elle fut soigné comme une enfant chétive »
Et nous pouvons finalement dire, que psychologiquement, elle ne peut pas s’épanouir puisque elle doit rester calme, ne pas parler et est enfermé à longueur de journée. Le texte nous le montre : « coucher dans le même lit que Camille » ; « pendant des heures elle restait accroupi devant le feu » ; « de parler à voix basse, de marcher sans faire de bruit, de rester muette et immobile »
Finalement, Thérèse a une enfance contenu, sans joie ; mais elle ne se plaint jamais, et n’exprime pas ses sentiments.
Dans ce second paragraphe, nous étudierons l'animalité que Thérèse développe tout au long de son enfance.
Quand elle se retire avec sa tante et son cousin dans une petite maison du bord de l’eau, la fillette se comporte d’une façon étrange telle un félin. Je cite : « enfoncer ses doigts dans la terre » ; « elle se roidissait, elle se préparer à la défense ». Sa posture est comparable à un animal : « elle se coucher à plat ventre comme une bête ». Et comme un animal, elle aimait se trouvait dans la nature, elle se sentait à son aise : « La vie devant meilleur pour elle » ; « tressaillement de joie ».
Nous comprenons donc que même si elle ne se plaint jamais, la jeune fille adopte des attitudes comparables au fauve, se qui montre que son vrai caractère fini toujours par ressortir.
À travers le portrait de Thérèse, Zola illustre la théorie du naturalisme car il montre que la manière dont telle est élevé, va avoir des conséquences dans le futur : son animalité va resurgir d’autant plus qu’elle a été contenu. En effet, Thérèse vas tuer avec Laurent, son mari Camille.
Thérèse est une jeune fille introvertie, mais en réalité elle ne demande qu’à exprimer ce qu’elle ressent.
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