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Lecture analytique, Prise de parole enflammée.

Fiche : Lecture analytique, Prise de parole enflammée.. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  11 Avril 2018  •  Fiche  •  416 Mots (2 Pages)  •  565 Vues

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Lecture analytique : texte 4.

Prise de parole enflammé.

Discours.

. passage narratif -> présent de narration.

. 3 interlocuteurs = Las Casas, prêtre et chef prêtre.

. passé composé = chose révolu.

. 1er personne pluriel singulier «je» «nous»

. Las Casas monopolise la parole = engagement, motivation

. Ponctuation = exclamation montre ses sentiments (sa colère, son indignation)

B) L’engagement de Las Casas.

. Son attitude, fait des gestes, ne reste pas immobile «Il quitte sa table et s’avance» = Cela montre la colère de Las Casas

. Les passages narratives montrent son implication et l’accélération de sa parole qui est de + en + vite

. De long paragraphe mais court avec des phrases exclamatives «Je l’ai vu!» et des phrases nominales «Pour s’amuser!»

. Las Casas est un témoin : il site des lieux «à Cuba» «Caonao» , la date et le nom de personne «Le capitaine Narvaez» renfonce son témoignage e son authenticité. Il détaille aussi tous les massacres

. Anaphore de «J’ai vu»

II. Une dénonciation.

Pour faire réagir.

. Las Cases fait l’inventaire des services amérindiens = énumération (l.24 , l.27), les détails donnent du réalise qui choc.

B) Pour mettre en évidence la violence des Espagnols et les amérindiens bienveillants.

. Acte de barbarie subit à tout le monde

. Les victimes des Espagnols sont au pluriel «Tous massacrés» = montrent qu’ils étaient nombreux

. Inégalité car les Espagnols étaient armés et les amérindiens n’étaient pas près car les victimes sont des femmes, enfants, vieux

. Fin du texte il zoom sur une scène violente, un espagnol contre un enfant (l.43-46)

. Les espagnols prennent du plaisir «j’ai vu un soldat, en riant» et agissant sans vraiment de raison «Tiens, et si on essayait le tranchant de nos armes» (discours direct) = sadique

. Comparaison «Comme s’il voyait couper des épis» , «les tailler comme on taille un arbre» = ne sont pas considérés comme des hommes, ils n’ont pas de sentiments et ne connaissent pas la douleur.

. Au contraire les amérindiens sont accueillant, ouvert, bienveillant «l.7-9» . Ils sont innocents. C’est une pop pacifique

. Cette pop est décrit comme le disait Christophe Colomb.

. Innocent par la nature des amérindiens = femmes, enfants, vieux

. Les actes des amérindiens sont humanistes alors que les européens sont des barbares.

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