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Lecture analytique

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Par   •  28 Avril 2019  •  Fiche de lecture  •  1 608 Mots (7 Pages)  •  460 Vues

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11/04/19.

Lecture analytique 16

A une passante. Baudelaire

PLAN

  1. Une rencontre singulière : la violence
  1. Le contexte de la rue.
  2. La violence du « coup de foudre »
  1. L’image de la femme, une étrange beauté.
  1. La beauté de la passante.
  2. Une femme mystérieuse et duelle.
  1. Un échec amoureux « programmé »
  1. Mouvement et immobilité
  2. Le poids de la fatalité

 

PRISE DE NOTE

Baudelaire place dans un contexte violent, elle est personnifiée.

La phrase est contenue dans un vers, cela montre la brutalité de l’instinct mais de sa rapidité dans le temps, cela passe vite par définition.  

Les sonorités du premier vers et assonance, elles sont forte ce qui renvoie au vacarme.

Il va décrire une femme mais la violence du coup de foudre.

Le lien avec la vision « l’éclair et la nuit » l’éclair qui peut nous éblouir comme la femme l’a fait, la lumière la rendu aveugle. Confirmé par l’utilisation de l’adverbe « puis ».

Une ponctuation forte, et il place le mot nuit dans la césure, petite pause pour la lecture avec un tiret : une temporalité. Il met en évidence le choque qu’il vienne de recevoir.

Extravagant qui rime avec ouragan.

Le verbe tuer qui marque la violence = c’est le poète qui révèle son état d’esprit, on est toujours dans un jeu d’opposition, (le beau le laid, le bien et le mal) l’image de cette femme.

Il décrit la beauté de cette passante en parlant de sa silhouette qui est longiligne avec l’adjectif « long et mince » et qui insiste sur la grâce de cette femme.

En grand deuil, douleur majestueuse = cette gradation vient mimer la silhouette de cette femme. Il reprend la même idée.

La métaphore de l’œuvre d’art = beauté parfaite, elle est sculpturale.

Elle est en plus en mouvement gracieux, cette démarche deviens presque une danse.

Il détail la tenue vestimentaire de cette dame. Il associe à nouveau qu’elle soit de l’ordre de l’art = raffinement.

En grand deuil = peut être marquer comme un effet d’un aspect noble de cette femme et souligné encore plus par ‘’ majestueuse’’.

Mais si c’est une statue, voilà que s’ajoute un coté mystérieux et duelle (ambivalence, elle est double).

Une fugitive c’est quelqu’un qui fuit, il y a une idée de mouvement alors et lui immobile « crispé ». Il semble incapable de rien, il fixe, il regarde alors qu’elle part. ce qui a de tragique dans ce texte, il ne pourra jamais la revoir. Il se lamente, il tente de lui parler.

12/04/19

Histoire des arts (Baudelaire)

[pic 1]

[pic 2]

Œuvre d’Henri Matisse qui se nomme ‘’Nu Bleu (souvenir de Biskra)’’, 1907. Il a trouvé l’inspiration pendant son voyage en Algérie.

Présentation du tableau :

  • DESCRIPTION  

Nous sommes devant une œuvre qui est un nu de Matisse, avec en premier plan, une femme donc nue de couleur blanche avec des traits plutôt grossier, les coups de pinceaux ne sont pas précis. La position de la femme qui allongée par terre sur le côté a les jambes croisées et elle se passe la main dans les cheveux avec sur son corps un mélange de couleur froide et chaude car sur son corps il y a du bleu et du jaune.

Au second plan, on remarque la présence de végétation en haut à droite par des sortes de feuilles de palmiers surement par leurs formes de couleurs très vives comme le jaune, l’orange, le vert. On comprend alors que la femme est allongée dans un lieu extérieur qui est justifié par des petites fleurs juste devant cette dernière. On peut aussi remarquer que les ombres qui sont sur le corps de celle-ci sont dans des nuances de bleu. Elle semblerait allongée sur l’eau en diagonal qui fait qu’elle est un peu centrale. Elle a beaucoup de forme. Il y a chez cette femme des formes très exagéré avec des bras et jambes presque s’un homme avec le ventre qui est attribué à la manière sensuelle d’une femme. Il y a une exagération au niveau des formes pour ces jambes et sa poitrine, il accentue sur les attribue d’une femme. Il y a de l’exotisme de cette femme comme le serpent qui danse de Baudelaire.

Vers le bas, on a plutôt les couleurs froides alors que le haut se sont des couleurs chaudes.

René Magritte, ‘’ Les fleurs du mal’’ 1946

C’est un surréalisme

[pic 3]

Il y a une idée de spectacle avec une scène et la présence de rideaux rouges. La femme sui est au centre qui est comme une statue due à son manque d’expression dans son regard et un jeu d’ombre et de lumière accentué sur son visage. En arrière-plan, remarque la mer.

Elle est mise sur scène car c’est une œuvre d’art.

La représentation artistique féminin.

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