Le survenant

Étape 1 : Plan du développement

Thèse : Dans le survenant, la vie sédentaire n’est pas idéalisée.

Introduction : (sujet amené + sujet posé + sujet divisé)

Paragraphe 1 

Argument 1 : Le survenant critique la vie sédentaire.

• Sous-argument 1.1 : Le survenant trace un portrait abject des gens avec qui il a vécu dans leur mode de vie sédentaire.
• Sous-argument 1.2 : Le survenant critique la vie sédentaire qui prive la liberté en empêchant le monde de découvrir en restant attaché à leur terre.
• Sous-argument 1.3 : Le survenant critique le mode de vie sédentaire à cause du manque de diversité du village.

Paragraphe 2 

Argument 2 : Le survenant embellit le nomadisme.

• Sous-argument 2.1 : Le survenant idéalise la vie libre du mode de vie nomade.
• Sous-argument 2.2 : Le nomadisme permet au Survenant la libre expression de penser et de parole.
• Sous-argument 2.3 : Le survenant avec sa vie nomade, aide le village en rapportant de l’argent à celui-ci.

Conclusion : (synthèse + réponse + ouverture) (Maria Chapdelaine)

Étape 2 : Rédaction

Tout d’abord, le Survenant critique très fortement et très ouvertement le mode de vie sédentaire de la population du village. En effet, le Survenant s’exprime de manière crue lorsqu’il trace un portrait sans scrupule des gens avec qui il a vécu ou qu’il a côtoyés pendant un an. Il reproche aux habitants du village une existence routinière et sans envergure, à cause de leur mode de vie sédentaire. Le Survenant dis : « [...] vous aimez mieux piétonner toujours à la même place [...] sur vos terres de petites grandeurs, plates et cordées comme des mouchoirs de poche. » (p. 186). Cette comparaison a pour but de critiquer, mais surtout dénigrer le mode de vie des habitants, en comparant leurs terres à des mouchoirs. Le survenant s’attaque directement au mode de vie sédentaire, indiquant qu’il n’est pas idéaliste de vivre toujours à un seul endroit si petit, plutôt que de vivre de voyage dans ce monde géant. De plus, le Survenant Le survenant critique le sédentarisme à cause du manque de liberté lié à ce mode de vie. Ainsi, la vie sédentaire est décrite comme banale n’offrant pas de possibilité d’avenir, contrairement au mode nomade. Les habitant vivent dans un monde rangé et exigu, qui n’offre pas de nouveautés à découvrir. Les habitant sont attachés à leur terre et non jamais vécus autres choses. Un point négatif, vivement critiquer par le personnage principal. Le survenant répète sans-cesse : « Vous ne savez pas ce que c’est d’aimer à voir du pays […] » (p. 186) indiquant que le mode de vie sédentaire ne permet pas d’éprouver des nouvelles sensations de découvertes et de libertés. Les habitants dans leur situation ne comprendront jamais la beauté de l’expérience et ce que l’aventure apporte en bienfait. Action décrivant de ce fait, une critique de la sédentarité. Pour rajouter, Le survenant critique le mode de vie sédentaire à cause du manque de diversité du village. Les habitants du village ont toujours vécu dans les mêmes coutumes, sans apporter de grands changements à leur mode de vie. De la sorte que peu de diversité à été mélanger aux habitants du village. Le village est homogène dans leur manière de vivre, dans les habitants du village et même dans la curiosité de ceux-ci de voir des nouvelles choses. De même, le survenant fait une remarque à propos de leur manque de diversité, avec commentaires agressifs sur leur curiosité, qui prend la forme de l’hyperbole et de l’exclamation: « [...] vous aurez donc jamais rien vu de votre vivant! » (p. 186). Avec cette hyperbole ajouter d’une exclamation, le Survenant, ne peut s’imaginer un monde si peu diversifié, où aucune nouvelle expérience existe. Bref, on lit donc que le Survenant ne fait que critiquer, avec autant de fougue, les malheurs du mode de vie sédentaire, il n’aime pas les habitant, n’aime le manque de liberté et de diversité du village. Il rajoutera ensuite, un embellissement des bienfaits de son mode vie, le nomade, pour indiquer que le sédentarisme n’est pas utopiste.

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