Le roman doit il ouvrir a la vie

Le Roman doit il ouvrir à la vie ?

        De nos jours, il existe deux grande familles de roman, la première que l’on peux qualifier « d’imaginaire » est là pour nous aider à nous évader, elle nous raconte pas la vie réel avec les problèmes de sociétés ou les problèmes du quotidiens ? Mais nous aide à vivre dans un monde fictif qui nous allège des soucis qui nous assaille chaque jours. La deuxième famille beaucoup plus terre à terre est plutôt là pour nous apporter une autre vision du monde, nous ouvrir sur la vie t elle qu’elle peu être si nous nous en donnons les moyens. La question qui va se poser est «  le roman doit il ouvrir à la vie » ou juste permettre de nous évader ? Dans une première partie, nous allons étudier si le roman ouvre toujours à la vie puis dans une seconde partie essaye de comprendre si il n’est pas juste là afin de nous aider à nous évader.

        Chaque roman qu’il soit basé sur une vie réel ou une vie fictif contient toujours une part de réalisme comme nous pouvoir le constater dans « le Parfum » de Patrick suskind, qui décrit de façon poétique le bordel ambiant de la magnifique ville de Paris en 1738, ses étroites rues, sa place de marché la plus puantes de tout le royaume, ou même ses ponts frêles où la population s’entasse au risque de les voir s’effondré. De plus, comme nous démontre Montesquieu dans « Les lettres persanes » plus précisément dans la lettre XXXVII, qui critique ouvertement la politique de l’époque comme le train de vie dispendieux de la cour ou aussi l’expatriement du roi Louis XIV à Versailles qui ruine le pays. Ou même dans la lettre XXIV quand il critique les difficultés de la vie à Paris causé par les problèmes de circulation, de logements.

        Plus en encore que des décors le roman peux aussi nous apprendre des modes de vie différents .  Nombreux sont les livres qui nous apprenne d’autres moeurs, d’autres habitudes de vies. Prenons le cas du roman mondialement connu « 50 nuance de Grey » de E .L. James ou comment des millions de personne ont découvert et se sont intéressé à travers la vie de l'héroïne Anastasia Stell au milieu du libertinage et du sadomasochisme. Ou même dans un thème différent mais moins connu le roman « L ‘énigme Amish » de Jacques Légeret,nous fait découvrir au file des pages, une société qui est différent de la notre, une société qui peux paraître archaïque mais qui au final peux permettre une vie harmonieuse.  

        Cependant, un roman peux aussi nous immerge, par exemple, dans un monde merveilleux, où il se passe des choses magiques, est souvent plus attrayant qu’un roman qui reflète un phénomène de société plus concret et beaucoup moins merveilleux  comme « Harry Potter à l’école des sorciers »et ses suites qui nous «font plus de bien», et nous font justement sortir de ce monde dans lequel on vit et que l’on peut redouter à cause des problèmes que l’on y rencontre. Ces romans nous en font sortir et nous apporte un peu de plaisir pour ceux qui en ont besoin .

        Ensuite, pour nous permettre de nous évader du quotidien un roman va nous présenter des personnage avec une vie plus rocambolesque . Ils sont souvent assez héroïque, courageux, vaillant… On peut aussi souvent facilement s’identifier à eux .C’est une autre part de ce que peut nous procurer un roman de ce genre. Un personnage typique, comme nous, mais sans rien de spécial, pourra nous permettre de s’identifier à lui, mais ne nous fera pas rêve. Si on s’identifie à un personnage irréel, mais qui a quelque chose en plus, tout de suite le roman devient plus attirant .En le lisant, on se dit des choses comme « Ah si j’étais lui », ou de ce genre la. Surtout dans les histoires d’adolescent ordinaire, et qui tout d’un coup se transforme en magicien ,comme dans « Harry Potter à l’école des sorciers », ou en dompteur de dragons, comme dans « Eragon », le héros au début du roman n’est qu’un simple fermier. Mais un jour il trouve un œuf de dragon et deviens un dompteur de dragons. Bien sur c’est un univers fantastique, qui n’existe pas, mais si on s’identifie au personnage de départ, un jeune homme d’environ dix-sept ans, qui vit dans une genre de ferme du moyen-âge, sans aucun élément fantastique, on peut aussi facilement s’identifier en celui qu’il va devenir.

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