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Le malade imaginaire de Molière

Mémoire : Le malade imaginaire de Molière. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  9 Novembre 2021  •  Mémoire  •  1 183 Mots (5 Pages)  •  465 Vues

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JJJJPJÙOKIJUHGYFTDRESQZSWDXFCVGBHJNK,L;M:Ù=^POIUYTRESQZ<Ò‹≈blkjhgfdsqwxdfvgbhnjk,;loiuytrazertyuiop^sdfghjklmcvbn,; hbkjvkjdhgq<fswdxfcgvbhjnk,;l:mlkjuhygtfrdswdxcvbn,;:=ùmlpkoijuhygtfrdesqwdxcvgbhnjk,l;mpkoiuytrezqa<swxcv b,;:mlkijhugyftdrfgvbn,Commentaire littéraire : Jean-Claude Grumberg, l’Atelier (1979), scène 7 « l’acte de décès »

Jean-Claude Grumberg est un écrivain et dramaturge français du XX ème siècle, de parents juifs. L'Atelier est une œuvre qui se veut à la fois historique et autobiographique, notamment l'histoire de la Shoah qui a marqué son histoire personnelle. Car pendant la seconde guerre mondiale, il va se faire arracher sa figure paternel : père, qui sera gazé.., donc logiquement, dans ce texte on utilise le registre du tragique. Le passage étudié est un extrait de la scène sept de L’atelier, sur scène il y a, Léon (le mari de Helene) ,Hélène et Simone. Dans ce passage, Simone reçoit une lettre et la donne à Hélène, elle la lit, c’est l'acte de décès de son mari. Nous apprenons que le mari de Simone était un juif, mais aussi qu’il était déporté et finalement mort dans un camps de concentration.

Donc les axes seront, premièrement, montrez que que ce dialogue révèle deux personnalités bien différentes, aux prises de position bien tranché, et deuxièmement, montrez que l’acte de décès n’a ni la même importance ni la même signification pour chacun des deux protagoniste.

En premier lieu, nous allons étudier le dialogue assez violente qui a eu lieu dans l’atelier, entre Helene et Leon au sujet de l’acte de décès. D’abord, Helene est très en colère toujours au sujet de cet acte de décès, nous constatons qu’elle utilise a très nombreuse reprise, des marques de ponctuations expressives dans ses propos : « mort a Drancy ! Mort a Drancy! » (L-14), ensuite « lis jusqu’au bout! » (l-6), enfin des points d’interrogations dans cette réplique « y a rien qui te choque ? » (l-10), ces marques de ponctuations, mettent en avant le sentiment de désespoir mais aussi, cela installe une forte tonalité au dialogue. Dés la premier ligne et ensuite a deux reprises, on voit l’utilisation du Impératif « lis » (l-1) (l-3) (l-6), Helene donne un ordre direct a Leon. Néanmoins, cette extrait montre une sorte de pseudo-dialogue où les personnages ne se comprennent pas bien. Le passage est jonché de questions oratoires comme l'expression de Léon : « Tu crois que c'est la première fois que je vois un acte de décès ? » (l-57-58). Ici Léon utilise un ton assez ironique et méprisant pour montrer une sorte de supériorité et pour dire qu'il a certainement plus de « vécu » que sa femme. La didascalie : « il ricane et hoche la tête » (l-59) renforce encore une fois le ton de leon. On remarque également l’utilisation d’anaplose, qui reprend les mots entres les personnages Helene : « … jusqu’au bout ! » (L-6) « choque » (l-10) « Drancy » (l-14) « papier » (l-16) Leon: « … jusqu’au bout » (l-7) « choque » (l-11) « drancy » (l-15) « papier » (l-15).

Ensuite, on remarque à la ligne 16 a 20 : « s'ils sont simplement morts à Drancy, ou à Compiègne, ou à Pithivier, qui se souviendra d'eux ? ». Hélène émet une hypothèse, mais ne parle pas de ce qui est, de la réalité, mais de ce qui pourrait être. Cependant, les personnages utilisent un langage familier (une insulte) comme le suggère les expressions : « Pauvre idiot » (l-16). Ce passage accentue encore une fois la colère d’helene face a l’oubli et le dénis de la part de son mari. Elle est hantée par l'idée que ce passage dans l'histoire de l'humanité puisse tomber dans l'oubli.

L’attitude de Leon face a la colère de sa femme, met

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