Le Malade imaginaire de Molière

L’image de la médecine dans la pièce

Molière célèbre dramaturge du 17eme siècle se perfectionne dans la comédie dans la farce mais plus particulièrement dans la satire des vices humains . Nous allons analyser et observer la vision qu’a  molière de la médecine de l’époque et comment il introduit son opinons dans le malade imaginaire.

 Dés le début de la scène 2 de l’acte 2 molière continue de critiquer la médecine en annonçant l’un des remède donner à Argan par M. Purgon lorsqu’il dit «  Monsieur Purgon m’a dit de me promener le matin dans ma chambre, douze allées, et douze venues ; mais j’ai oublié à lui demander, si c’est en long, ou en large. » non seulement il ridiculise la médecine mais en même temps le personnage d’argan il le fait passer pour un simple d’esprit au yeux du publique mais aussi au yeux de sa servant toinette qui avec ironie contredis cléante qui pense que argan se porte mieux elle le contredis en assurant que son maître se porte toujours aussi mal bien qu’il sait se tenir debout et a l’air de se sentir mieux et se moque intelligemment d’argan en décrivant les symptôme qu’argan c’est a dire «Il marche, dort, mange, et boit tout comme les autres ; mais cela n’empêche pas qu’il ne soit fort malade. » des symptôme qui ridiculise argan puisque lui même pense être malade alors qu’il n’y a rien de plus normal pour un être humain,ici molière marque la facilitée qu’a argan de croire tout ce que les médecins lui dit lorsque toinette essaye de le convaincre de laisse seul le professeur de musique et sa fille travailler argan étant en désaccord, toinette utilise la sois disant maladie d’argan pour le convaincre du contraire qu’en aucun cas il faut tourmenter son esprit et le gêner avec ce cour , molière marque ici le fait que argan croit lui même a l’existence même de cette maladie ce qui confirme qu’effectivement il est facile de faire croire a argan qu’il est malade .Il continue de paraître comme le personnage stupide de la pièce puisque dans la scène 9 a la visite de son frère argan se dit si faible qu’il a  peine la force de parler puis quelque seconde plus tard on peut lire « argan parlant avec emportement et se levant de sa chaise [...] » il a miraculeusement trouver la force de réagir a cela ce que souligne son frère « Ah voila qui est bien:je suis bien aise que la force vous revienne un peu et que ma visite vous face du bien » son frère doute un peu de l’existence de cette maladie il le prouve bien des son arrivé lorsqu’il demande l’état de santé d’argan et que celui si lui répond qu’il va fort mal on voit bien que berald est surpris puisqu’il dit «  comment « fort mal » ? » il doute lui aussi des ordonnances de monsieur purgon puisqu’il dit que un spectacle egyptient a la même valeur qu’une ordonnance. (scène 9)

L’arrivé de M.diafoirus et de son fils le futur gendre ne va malheureusement rien arrangé a l’image que le spectateur c’est déjà fait d’argan puisque une fois arrivés ont constate qu’une certaine complicité tout en gardant une certaine ironie c’est installé entre toinette et cléante puisqu’ils se moquent ensemble de Thomas diafoirus  lors quelle dit « vivent les collèges dont ont sort si habile homme » ou « TOINETTE, en le raillant.- Voilà ce que c’est que d’étudier, on apprend à dire de belles choses. »  elle se moque totalement de Thomas .D et cléante suis le mouvement est dit

« CLÉANTE.- Que Monsieur fait merveilles, et que s’il est aussi bon médecin, qu’il est bon orateur, il y aura plaisir à être de ses malades. »

« TOINETTE.- Assurément. Ce sera quelque chose d’admirable, s’il fait d’aussi belles cures, qu’il fait de beaux discours. » (scene4)

la crédulité du personnage d’argan que molière veut faire remarquer n’est qu’un peu plus presente puisque l’on s’appercoit qu’argan  qui est en admiration devant ces médecins et ne comprend évidemment pas l’ironie de toinette et cléante ne remarque puisqu’il dit  « ARGAN.-Vous voyez, Monsieur, que tout le monde admire Monsieur votre fils, et je vous trouve bien heureux de vous voir un garçon comme cela. » pense donc reelement que son admiration est partagé (scène 5)

Dans la tirade que fait M.diafoirus de son fils il décrit les principales caractéristique et le décrit comme un « grand benêt » un idiot a travers ce portrait de Thomas diafoirus ,molière fait une satire des médecins en associant le champs lexicale de la médecine a celui de la stupidité

 «Il n’a jamais eu l’imagination bien vive, ni ce feu d’esprit qu’on remarque dans quelques-uns » (scène 5)

« mais c’est par là que j’ai toujours bien auguré de sa judiciaire, qualité requise pour l’exercice de notre art » (scène 5) ici molière fait un compliment paradoxale puisque en clair il dit que pour êtres médecin la stupidité est une qualité requise ce qui montre la mauvaise image que molière se fit de la médecine , de plus la sonorité du nom diafoirus qui signifie « foireux » montre bien le mépris que possède l’auteur pour la médecine il montre aussi l’image d’une médecine dangereuse et qui refuse toute évolution avec un passage de la tirade de M.diafoirus « c’est qu’il s’attache aveuglément aux opinions de nos anciens, et que jamais il n’a voulu comprendre, ni écouter les raisons, et les expériences des prétendues découvertes de notre siècle, touchant la circulation du sang, et autres opinions de même farine. » (scène 5) ici l’utilisation de l’adverbe « aveuglement » est plutôt effrayante pour un médecin qui est censé déceler les maladies de ses patients ou alors quand le fils diafoirus dit « THOMAS DIAFOIRUS.- Nous lisons, des anciens, Mademoiselle, que leur coutume était d’enlever par force de la maison des pères les filles qu’on menait marier, afin qu’il ne semblât pas que ce fût de leur consentement, qu’elles convolaient dans les bras d’un homme. » ( scène 6) l’opinion de molière est donc bien illustrer. Molière a l’air de penser que les médecins sont stupide aussi car lors d’une consultation improvisés par M.diafoirus et son fils ils sont tout les deux d’accord pour dire que la santé d’argan est mauvaise mais quand il s’agit de comparer le diagnostic de m.purgon et celui de M.diafoirus celui ci est comme perdu et pour ne rien laisser paraître il essaye de convaincre argant que ce qu’il pourrait avoir au foie est liée a la rate il réussi a convaincre le patient que les deux remède proposer le bouillit et le rôti sont deux remède semblable au même effet (scène 7).

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