La bête du Gévaudan
Cours : La bête du Gévaudan. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar jaloul3131 • 30 Octobre 2018 • Cours • 604 Mots (3 Pages) • 464 Vues
LA BETE DU GEVAUDAN
Comment est décrite la bête ? Pensez-vous qu’un chasseur l’ait véritablement aperçu ?
I. La bête : un prédateur qui sème la terreur
Nous retrouvons dans le texte toutes les caractéristiques (champs lexical et isotopie) de ……………………………………...
Les humains (proie)
Les femmes en enfants proies faciles
Les hommes qui livrent une chasse sans résultat
La bête (prédateur)
Idée d’animalité
Les humains sont de véritables proies pour la bête :
l.34 « car rarement s’en prenait-elle aux troupeaux ; elle avait un goût prononcé pour la chair humaine, et, se trouvant assez forte pour satisfaire ses féroces instincts, elle laissait en repos les moutons pour se jeter sur le berger. »
Les humains sont des proies, mais parmi eux la bête a des préférences (justifiées pas un point de vue humain) :
l.38 « c’est ce qui lui faisait choisir de préférence pour sa proie les femmes et les enfants, que par expérience elle savait incapables d’opposer une grande résistance. »
« proie facile » bête cruelle et injuste
« victime » « CRIMINEL »
Les deux mondes s’opposent dans les termes.
« malheureux égorgé »
« alors si personne n’avait entendu le dernier cri du malheureux égorgé et n’accourrait en armes,
La proie ( la bête) est insaisissable :
Ligne 51 : « quelques hommes intrépides lui donnaient la chasse avec ardeur »
Ligne 54-55 : « mais lorsque les chasseurs lassés avaient regagné leurs foyers, l’animal apparaissait soudain, faisait de nouvelles victimes et s’évanouissait dès qu’on était à sa poursuite. »
l.54 « ceux-là seuls qui cherchaient le monstre ne le trouvaient jamais ».
l.55 « mais lorsque les chasseurs lassés avaient regagné leurs foyers, l’animal apparaissait soudain, faisait de nouvelles victimes »
La bête est jugée du point de vue des hommes :
Quel est son portrait ?
L. 17 « bête sanguinaire qui durant deux années entières sema l’effroi » »
L. 34 « elle avait un goût prononcé pour la chair humaine »
L. 35 « féroces instincts »
L. 36 La bête choisit sa proie : « elle laissait en repos les moutons pour se jeter sur le berger »
L. 37 « sa soif de sang »
L. 38 « cet animal avait heureusement sa bonne part de couardise et de lâcheté »
« comme les criminels célèbres » (l.41)
« lorsque dans un champ écarté son œil avait aperçu une proie facile elle descendait, rampait comme un serpent dans les moissons, les hautes herbes, se dérobait le long des haies ; et lorsque, sans être vue, elle était arrivée à quelques pas de sa victime, elle bondissait ; en un clin d’œil sa dent redoutable avait séparé la tête du tronc. »
La bête est anthropophage :
« alors si personne n’avait entendu le dernier cri du malheureux égorgé et n’accourrait en armes, le monstre continuait tranquillement son repas, puis regagnait la forêt , laissant sur le sol des membres épars et méconnaissables »
« le monstre » la bête devient un monstre lorsque celle-ci tue et se nourrit sauvagement de chair humaine.
Le monstre l.54, l.60, l.73.
« scène de carnage qui signalèrent son apparition » (l.31)
« traquée aussitôt avec fureur » (l.31)
Celle-ci est traquée car elle sème l’effroi dans le pays dans lequel elle sévit :
Expliquez la terreur qu’elle provoque, dites quelles en sont les causes (vous pouvez citer le texte) :
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