LA Dom Juan, Molière

Introduction :

Après l’interdiction de représentation de sa pièce Tartuffe en 1664. Molière se trouve dans l’obligation de monter une autre pièce pour faire vivre c’est comédien. Il écrit alors Don Juan ou le festin de Pierre représenter pour la première fois en 1665. Molière s’inspire de Tirso de Molina pour faire la peinture de ce Don Juan, un libertin passant de conquêtes en conquêtes.

Molière donne de la profondeur à ce personnage baroque, symbole de l’inconstance et du changement. Cette extrais constitue la fin de la scène d’exposition dans laquelle Sganarelle dresse un portrait péjoratif de son maître. Ce passage nous permet de nous demandez

Problématique possible :

• Quelle relation Sganarelle entretient-il avec Don Juan ?
• En quoi cette scène d’exposition traditionnelle les deux personnages principaux nous son-t-il présenté ?

1. Scène d’exposition

1. Les personnages

Les personnages présents sur scène sont Sganarelle et Guzman respectivement valet de Don Juan et Don Elvire.

Dom Juan et Dom Elvire sont mentionné. Dom Juan est un personnage éponyme.

On se sert des didascalies.

1. L’intrigue

Nous comprenons avec la réplique de Gusman que Don Juan n’a pas tenu sa promesse d’épouser Dom Elvire. Enumération du champ lexical de la passion amoureuse (l5) + parallélisme syntaxique « tant…tant » accentuation des efforts de séduction de Dom Juan pour que Dom Elvire soit amoureuse.

Dom Juan est imprévisible et ne respecte jamais les promesses qu’il fait « je ne comprends pas, je ne comprends point »

Opposition de passion et Couvent (antithèse). La passion amoureuse s’oppose à la morale

1. Thème principaux

• Le ton : comédie
• L’infidélité/ le libertinage
• Rapport entre le valet et son maître

Comique de mot : Hyperbole (l19) « toi ton chien et ton chat »

(l20) ce serai un chapitre….

Comique de mot (l29        -30) décalage entre le portrait que fait Sganarelle de son maître et son retournement de veste.

1. Portait péjoratif de Dom Juan

1. Un rang social élevé

• Particule Dom titre de noblesse espagnol, (latin dominus = seigneur, maître)
• Il possède un valet « mon maître » (l12) « grand seigneur » (l25), « Fidel » (l26) rapport de soumission
• Hyperbole « grand seigneur) grand accentue le fait que il soit puissant
• Un libertin est forcément noble

1. Libertinage de penser

Rejet de la religion

• L5) les mots sacré et couvent appartenant aux champs lexical de la religion précédé du verbe forcé montre le rejet de don Juan pour l’Eglise
• (l13) « ni dieu ni enfer », énumération « un turc », « un hérétique », « loup garou » montre son absence de fois
• (15) « il traite de billevesées ….. » intolérance
• (12) Oxymore « grand seigneur méchant » en tant que seigneur il devrait agir de façon sage avec des valeurs.
• « le plus grand scélérat… » « diable » métaphore représentant le mal « chien » métaphore qui montre qu’il n’a aucun principe moral
• Allitération « be, te » (14) « bête brut » montre qu4IL ne respecte pas la moral

1. Libertinage de mœurs

• Il bafoue le sacrement du mariage (18) hyperbole, « a toute main » métonymie

(17) « un mariage ne lui coûte rien à contracter » il bafoue les valeurs du mariage

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