L'Étranger, Albert Camus, 1942
Commentaire d'oeuvre : L'Étranger, Albert Camus, 1942. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Isabella Alouane • 14 Octobre 2017 • Commentaire d'oeuvre • 652 Mots (3 Pages) • 1 270 Vues
Albert Camus est un écrivain romancier française pendant le mouvement théâtre de l’absurde au XXe siècle. Il a publié L'Étranger en 1942. Ce roman raconte l'histoir du personnage principale, Mersault qui est ainsi le narrateur, qui est dirigé par la vengeance et tue un homme. Puis il est mis en prison. L'oeuvre est divisée en deux partie, le premier étant le point de vue de Meursault avant le meurtre et le deuxième après. Dans l'extrait, Meursault, est sur le point de se rendre en prison. Nous nous demanderons en quois se text met en scène la vie en prison du personnage. Nous verrons dans un premier temps comment le texte suggère la monotonie de la vie du prisonnier. Dans un deuxième temps comment le texte fait sentir que le prisonnier tente de s’adapter à sa situation.
Pour commencer, Meursault parle à un point de vue narratif interne. Cette seul narration nous ramène dans le pensée de Meursault, qui fait écho à sa vie monotonie, et de son solitude dans le prison. Le narrateur utilise des pronoms personnels et des déterminant à la première personne du singulier: “je”, mes”, “moi”, “ma”, ou encore “me”. Hors aussi, le narrateur n’ait pas tout seul au début. L'énumération d’action et objet personnel retiré du personnage, sont caractérisés par des forme impersonnelles “on”, “on”, m'a pris”, “on m'a privait”, qui insiste sur son solitude et monotonie. L’apparition de l’ennuis se déroule dans le text, qui évoque la vie monotonie du personnage. Le fait que le narrateur a une vie très monotonie, fait écho à ses action très répétitive. L'auteur répète le mot “chaque” plusieur fois dans le text et dans une même phrase pour souligner les même actions répétitive que le personnage réalise. De plus, l’anaphore “Je suçais des morceaux de bois[...]Je promenais toute la journée une nausée perpétuelle. Je ne comprenais pas pourquoi on me privait [...]” met en évidence comment “Les premiers jours ont été très durs” pour lui. Ainsi cela souling le début de sa vie monotonie. Meursault insiste sur le fait qu’il “tuer le temps”. Ce personnification montre que le personnage envisage à faire quelque chose pour fair passer le temps plus vite en prison, anisis cela fait écho à ces action répétitive et donc à sa vie monotonie.
Le personnage au tout début ne comprenant pas les contraintes qu’il été imposé avec. Mais “Plus tard” il comprend pourquois cela est force sur lui : “ j'ai compris que cela faisait partie aussi de la punition.” Cela aussi souligner le début de son adaptation à sa situation. Pour pouvoir s’adapter à son emprisonnement, le fait de vouloir “tuer le temps” ce relevé encore. Pour pouvoir atteindre cela et de pouvoir s'adapter, Meursault, utilise son “imagination” et son “mémoire” . Il a appris comment se souvenir de tous dans son chambre. Cela lui a bien aidé à “ne plus [..][s’]ennuyer du tout à partir de l'instant où j'ai appris[...]”. L'exagération “J'ai compris alors qu'un homme qui n'aurait vécu qu'un seul jour pourrait sans peine vivre cent ans dans une prison” met en valeur le sentiment que Mersault à envers son situation, il accepte et il est positive. De plus, il dit “c'était un avantage.”, cela est évidemment ironique car être en
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