L'albatros, Baudelaire

Lana Bizeau

September 15, 2020

Redaction de l’Abatros

        Dans le poème L'Albatros, le poète Charles Baudelaire décrit l'albatros. À la fin du poème, Baudelaire fait une analogie entre les poètes (lui-même inclut) et l'albatros.

L'albatros sont des oiseaux de mer. Baudelaire les décrits avec de gros ailes blancs. Il les décrit dans deux différentes façons : dans l'air et sur terre. Dans l'air, les albatros sont « beau, » des « princes des nuées qui hante la tempête. » Baudelaire utilise des mots qui font référence à la royauté, la beauté, et la force en général. Il les transmet comme des créatures fortes et capables. Mais quand les albatros sont sur la terre, ils ont l'air ridicule. Baudelaire les décrits comme « maladroits et honteux, » « gauche et veule, » « comique et laide. » Dans le poème, ce sont les hommes qui attrapent les albatros. Dans un sens, l'albatros sont beaux quand ils sont dans le ciel, seules des gens. Quand ils rejoignent les gens à terre, les hommes leurs moques.

La similarité entre les poètes et les albatros est claire. Baudelaire fait une analogie entre la dichotomie de la perception de l’albatros et le processus artistique. Comme l’albatros dans le ciel, un poète peut trouver ses propres créations belles, convaincantes, et originales. Mais une foi que ces créations sont soumis à la perception de les autres personnes, ils peuvent devenir désagréables, clichés, et vide de talent, comme l’albatros sur la terre. Baudelaire décrit non-seulement les sentiments de ses lecteurs, mais le changement de sentiment des poètes eux-mêmes.

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