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Jean Françoi DORTIER

Commentaire de texte : Jean Françoi DORTIER. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  15 Mars 2019  •  Commentaire de texte  •  491 Mots (2 Pages)  •  1 082 Vues

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Culture de communication
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Dans cet extrait tiré d’ « Altruiste ou égoïste, les deux faces de l’être humain » paru dans les Sciences humaines. Jean François DORTIER évoque le fait que l’Homme est un mammifère social particulier.

En effet, selon l’auteur, les hommes seraient comme les animaux, soumis et guider par « des pulsions de vie et de survie » qui les pousse à agir pour leur propre intérêt. Tout comme certains animaux, l’Homme a la capacité de vivre en communauté et de créer des liens, voire même ressentir des choses vis-à-vis des autres individus. Ce comportement contribue dans un premier temps à l'évolution des humains, à les instruire sur ce qui les entoure voir sur eux-mêmes. De plus, cette attitude permet aux individus de ne pas rester seuls, donc par conséquent être malheureux. Cependant, elle rend les Hommes dépendant des autres. En étant assujetti à ces pulsions, à cet instinct, les êtres vivants se soumettent alors aux autres, mais la dépendance à autrui résulte également d’un lien créé entre entres plusieurs individus.

L’homme est donc un mammifère sociale doté des mêmes caractéristiques que l’animal, mais il faut ajouter à cela d’autres attitudes et capacités qui lui sont bien propres.

L’humain à la spécificité d’être conscient et responsable dans ses actes, ce qui n’est pas le cas des animaux qui eux, ne suivent que leur instinct, en communauté ou pas. Grâce à l’intentionnalité, ou encore la réflexivité, les humains sont alors soumis à une idée de bien et de mal instaurer par la société. Cette notion de bien et de mal, fais alors de nous « des agents moraux », autrement dit des personnes qui agissent selon une éthique fixé par la société. Ici, l’auteur souligne alors que les humains ne sont pas libres d’agir comme ils le souhaitent, et que selon la situation qui se présente, l’Homme n’agira pas selon ses pulsions mais analysera celle-ci afin d’adopter une réaction répondant à l’éthique de la société ou de sa communauté. Cela démontre à quel point il est difficile de comprendre la conduite des humains, qui est influencée par la vie sociale. Selon François DORTIER, ce comportement est propre aux hommes, et pour expliquer cela, il parle de la philanthropie. La philanthropie serait un sentiment qui pousse les Hommes à venir en aide aux autres, on parle alors d’amour envers l’humanité. 

Mais l’être humain serait-il vraiment altruiste envers les autres ? 
Tel est la question de ce texte. Selon l’auteur, l’Homme ne l’est pas vraiment et attendrait « en échange un salut personnel », autrement dit, les gestes altruistes ne seraient pas désintéressés, il y aurait derrière un acte ou don de charité, un besoin de reconnaissance et donc de l’égoïsme.
Ces actes de générosité reposeraient alors sur un sentiment de devoir, d’éthique ou encore de conscience. Ces notions, qui sont importantes, amèneraient à un sentiment de bien-être, avec l’impression d’avoir aidé quelqu’un, mais aussi et surtout d’être bien vue par autrui.

Claudia BETTASSA BTS1B

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