Indiquez clairement la leçon que l'on peut tirer des fables dont la moral est implicite.

Corpus :

1)Nous avons ici affaire a un corpus de 5 textes, dont seulement 4 sont des fables dont la morale est implicite. 2 de ces dernieres sont de La Fontaine, auteur incontournable des fables, tantot pour «Le Loup et le Chien »( 1668-1696) et tantot pour « La Genisse, la chevre et la brebis en societe avec le lion »(1668-1696) et enfin une fable de Jean Anouilh intitulee « Le Loup, La Louve et les Louvetaux ». Dans chacune de ses fables, la morale est implicite c’est-à-dire que le lecteur doit la deviner par lui-même car elle n’est pas donne par l’auteur du texte. Nous allons chercher cette morale dans chaccun des textes.

Dans « Le loup et le chien », il s’agit d’une conversation entre deux animaux , en l’occurrence un loup et un chien. Le loup, vivant dans la foret se lamente du peu de nourriture qu’on y trouve, et le chien au contraire vivant a la ville est gras et beau. Ces deux personnages discutent et le chien declare au loup qu’il n’est guere impossible de devenir aussi « beau » et «gras » que lui, mais que cela lui vaudra sa liberte. Le Loup refuse violemment, sa liberte lui vaut beaucoup plus qu’un tresor, et c’est la morale de cette fable. D’autre part dans «La Genisse, la chevre et la brebis,en societe avec le lion », la morale est d’une nature ou d’un autre theme plutôt. Il s’agit de l’injustice que mene le plus fort, ici represente par le lion qui est en societe avec une chevre, une genisse et une brebis, avec qui il doit partager « gain et dommages ». Dans cette fable, la chevre reussit a chasser un cerf, ce cerf doit etre partage en 4 d’apres le principe de la societe. le lion prend la premiere part car il est le plus puissant, et a ceci on ne put rien dire, ensuite pris la deuxieme car il est le plus fort et la troisieme car il est le plus vaillant et finalement pour la 4eme et derniere part il menace ses associes que si l’un d’entre y touchait, il serait etrangle sur le coup. La morale est ici que le plus fort est injuste. En effet les autres associes sont trop faibles pour s’opposer a lui. ( Une autre morale serait de ne jamais faire confiancce aux personnes forte ou plus fortes que soi meme ). Et enfin dans « Le loup, la Louve et les louvetauxx », l’auteur met en scene une famiile de loups , constituee d’une mere, d’un père et de louveteaux , il met en valeur la tendresse des parents envers leurs parents contrastee par la cruaute du chasseur envers la famille qui est desormais un tas de cadavres… La morale ici est de montrer la cruaute des humains.

En conclusion, la fable du « Chien et du loup » a pour morale : La liberte n’a aucun pris, celle de la deuxieme fable de la fontaine c’est le plus fort profite des plus fragiles, et efin celle de Jean Anouilh est l’homme est cruel.

2) Rousseau reproche aux gens qui apprennent les fables aux enfants de leur cacher la verite et le sens vrai de la vie et de leur porter confusion , il fait allusion a « le loup et le chien et « la Genisse, la chevre,et la brebis en societe avec le Lion ».

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