Frankenstein, Mery Shelley
Commentaire de texte : Frankenstein, Mery Shelley. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Aurélien • 6 Décembre 2017 • Commentaire de texte • 675 Mots (3 Pages) • 1 450 Vues
Colonges Aurélien
1ère 7
Devoir maison de Français n°1[pic 1][pic 2]
Question sur corpus :
Le corpus est composé de trois textes. Le premier est un extrait de Frankenstein écrit en 1818 par Mary Shelley, il raconte le moment ou un scientifique de nom de Frankenstein donne la vie à une créature créer de toutes pièces. Le deuxième texte est un extrait du roman de Gustave Flobert Bouvart et Pécuchet écrit en 1880, il conte la découverte de la science par deux employés. Le dernier texte est tiré de roman Le Meilleur des mondes, écrit par Aldous Huxley en 1932. Dans cet extrait il nous expliqué une société dans laquelle le clonage fais partie de la vie quotidienne et est utilisé régulièrement pour se faciliter la vie. A partir de ces trois textes nous nous demanderons quelle image du savant est construite à travers ces trois extraits.
Dans ces texte le savant peut être définit en plusieurs adjectif. Tout d’abord on constate que le savant est un être déterminé, voué à sa cause. En effet dans le premier texte Frankenstein nous confie que pour donner la vie à sa créature il avait « travaillé avec acharnement », il s’était aussi « privé de repos », il était même aller jusqu’à « compromettre sa santé ». Il ne s’était fixer aucune limite et travaillait « sans modération ». Même si son travail est complexe et présente des difficultés il n’y renonce pas, ainsi dans l’extrait de Flaubert les employés « apprirent » la science grâce à des livres, les deux amis surpris par les notations « baroques » s’acharnent. Malgrés ses efforts le savant n’arrive pas toujours à ces objectis et à premiere vue la science et difficile à comprendre « Enfin, je ne comprend pas (...)Moi non plus ». Les savant s’acharnent aussi à découvrir sans cesse de nouvelle choses « ce qui les ébahit par dessus tout » et leurs découvertes les emplies de joie « quelle merveille » et parfois elles sont décevante comme dans le l’extrait avec Frankenstein « l’émotion que j’éprouvais devant cette catastrophe (…) l’être repoussant que j’avais créé au prix de tant d’effort ».
Le savant à pour objectif d’améliorer la société mais selon son idéal, ainsi Frankenstein donne la vie à une créature ce qui est une noble idée mais lorsque Frankenstein voit à qui il a donné la vie il remet en cause son lourd travail. Les savant sont souvent tenté de se tourner dans « la chimie organique » et dans l’étude du corps humain pour pousser ses capacités au maximum, ainsi dans le dernier texte le clonage est un moyen d’améliorer la société pour obtenir une « stabilité sociale ». Dans ce dernier extrait le but de la science est tourné vers « le progrès » bien que celui soit purement partique et avec le risque que celui se retourne contre le bonheur des citoyens. On remarque que dans les texte un et trois les savant on modifié l’humain, mais, l’expérience est considérée comme une « catastrophe » dans le premier texte alors que dans le troisième le clonage est considéré comme une amélioration de la société, en effet le directeur explique que « nous enrayons la croissance normale » il explique aussi que, selon lui , « si nous pouvions bokanovskifier indéfiniment, tout le problème serait résolu ».
...