Fiche révision receuillement

Recueillement

Écrit en 1861 par Charles Baudelaire issu de la section « Spleen et Idéal » dans les Fleurs du Mal recueille écrit à la fin de sa vie quand il fut torturé, il cherche à exprimer sa douleur et son Idéal.

Description de la nuit sur une ville et des vices parisiens, pour exprimer les états d’âme du poète dans l’objectif d’apaiser son mal-être (themes moderne) cependant la forme rend hommage aux poète classique: Sonnet en Alexandrin (Idéal) sous forme de dialogue

Registre: lyrique, élégiaque

1) Personnification de ses malheurs

Majuscule/Impératif(=autorité) /affection/adj possessif=(intimité) / personnification pour les enfants/CL action enfant

« Sois sage, ô ma Douleur, et tiens-toi plus tranquille », « Tu réclamais le Soir ; il descend ; le voici » (v. 1-2), « Ma Douleur, donne-moi la main ; viens par ici » (v. 8).

« ma chère » (v. 14).  « défuntes Années » (v. 9) et du « Regret souriant » (v. 11). “Plaisir”

Pour mieux l’appréhender, Baudelaire donne corps à sa souffrance.

2) Mélancolie

Retour en arrière: oxymore robes démodées « en robes surannées »

Posture typique de la représentation de la mélancolie ou vieillesse:

« Vois se pencher les défuntes Années Sur les balcons du ciel »

Le sourire du Regret semble narguer/compassion le poète nostalgique.

CL souffrance  ⇨  tonalité élégiaque.

3) Les vices de Paris

Le poète rejette alors les plaisirs, qui ne lui apportent plus aucune consolation.

« Pendant que des mortels la multitude vile” Il est supérieur (notion d’Idéal)

Personnification/Antithèse « Sous le fouet du Plaisir, ce bourreau sans merci” 

sex / prostitution / esclavagisme «Va cueillir des remords dans la fête servile » (v. 5 à 7).

Polysémie « ville » (v. 3) et « vile » la ville est une source de mauvaise tentation

4) La nuit allégorie de la mort

La mort qui s’approche « entends la douce Nuit qui marche »

Soleil moribond = Vie qui meurt / CL mort et vieillesse

Douceur de la Nuit + alliteration L: « Et, comme un Long Linceul traînant à l’Orient », « La douce Nuit qui marche » . La mort est une libération

Ambivalence :réconfort et angoisse « Une atmosphère obscure enveloppe la ville portant la paix, aux autres le souci »

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