Etude de 3 fables de La Fontaine

Fable I – Les Animaux malades de la peste

Un mal inventa la peste qui est une maladie mortelle, chez les animaux elle était responsable de nombreux carnage. Les animaux se sont donc réunis, et ont décidé de sacrifier qq pour calmer la colère du mal. Le lion dit qu’il avait mangé bcp de moutons et le berger qui accompagner le troupeau. Le renard le défendit. Puis le loup, le tigre, l’ours et les autres animaux dangereux furent aussi défendu. Un âne dit qu’il avait souvenir d’avoir brouté un champ alors qu’il n’avait pas le droit. Il fut de suite jugé coupable, la mort lui été donc inévitable.

Cette fable cherche en effet à démontrer que la justice d'Ancien Régime est défaillante et corrompue, car elle juge coupable les gens en fonction de leur statut social, de leur puissance ou de leur éducation et non en fonction de leurs crimes.

Fable II – Le mal marié

Une femme mariée est insupportable avec ses valets et son marie. Elle veut tout et rien à la fois. Sauf qu’un jour le marie en eu marre et la renvoya chez ses parents à la ferme.

La morale de la fable est que tout mal fait un autrui se retournera un jour contre soi.

Fable III – Le rat qui s’est retiré du monde

Dans la fable nous retrouvons un rat replié dans la solitude pour méditer. En réalité, c'est un glouton qui s'empiffre de fromage. Un jour il est confronté à des rats nécessiteux qui lui demandent la charité. Il refusa de leur porter son aide.

La Fontaine dénonce l'avarice, la gourmandise et l'hypocrisie des moines à travers le rat.

Fable VI – Le héron

Cette histoire illustre un héron qui pêcher sur les bords d’une rivière. Celui- ci ne voulut pas manger la carpe, le brochet et les autres poissons car ils n’étaient pas assez raffiné à son gout, il préféra attendre. Sauf qu’il ne vu plu un seul poisson dans la rivière et il fut obligé de se contenter d’un limaçon.

La morale est qu’il ne faut pas négliger ce que l’on a et ne pas avoir les yeux plus gros que le vendre. Cette fable montre que ceux qui veulent tout, bien souvent, ne prennent que peu de choses.

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