Essaie, Peine de mort
Dissertation : Essaie, Peine de mort. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar iman erra • 4 Novembre 2022 • Dissertation • 495 Mots (2 Pages) • 407 Vues
Introduction :
En France dés 1791 le sujet de la peine de mort est étudié avant d’être abolit près de deux siècle plus tard en 1981. La peine de mort a suscité énormément de réflexion avec la participation des écrits de nombreux auteurs et d’homme politique. Avec notre sujet : « Comment la peine de mort apparaît elle comme une sentence aussi violente que le crime qu’elle sanctionne ? »Nous allons réfléchir sur la façon dont la peine capital semble aussi cruel que le crime qu'elle condamne . Avec les condamnation prise à la légère et la cruauté de la peine de mort.
Axe 1 : Des condamnation prise à la légère
Argument A:Des raison insuffisante Des victimes de la société on étaient condamné pour de simple délit ( avec justification comme le dit Albert Camus. « Le meurtrier a des excuses [..] La loi, non » ) tel que des vole pour nourrir sa famille et sois même comme dans l’intrigue de Claude Geux de Victor Hugo. Ces condamnation injuste les poussais à commettre de vrais crimes
Argument B : Des condamnation injuste A partir de 1777 Voltaire va plaider contre la barbarie des exécutions.En s'appuyant sur des erreurs judiciaire dont la condamnation à entraîné la mort d’innocents comme Dans l’Extrait du Traité sur la tolérance de 1763, Voltaire cherche à faire réviser le procès de Jean Calas, qui serait accusé à tort d’avoir tué son fils. Il condamne ainsi l’intolérance e l’injustice des juges responsables de l'affaire. Voltaire condamnait aussi la peine de mort comme étant à la fois inhumaine et inefficace. Pour lui les peines de morts étaient « des massacres en forme juridique ».
Axe 2 :La cruauté de la peine de mort
Argument A :Un crime prémedité Le crime le plus inhumain est le meurtre avec préméditation car on prévoit et organise la mort d’une personne, la peine capital selon Albert camus dans « Réflexion sur la guillotine» est le plus atroce des crimes prémédité en plus de prévoir la mort d’une personne en publique la victime elle même est au courante de la date de sa propre mort.
Argument B : des actes inhumains La Dans la préface de 1832 du dernier j dun condamne hugo racconte l’horrible de l éxecution d’un homme qu’on avait fait patienté dans sa prison jusqu’a quil recois 5 cout de couper sans que sa tete ne tombent toujours en vie et souffrannt il demande de laide mais le valet du bourreau lui coupe le reste de cou quil rester à ce pauvre homme On peu voir avc ce témoignage le manque d’humanité que fait resortir les exécution
Conclusion
Nous avons donc pu voir avec les écrit de différent auteur du XIXème et XXème siècle que la peine de mort apparaît comme une sentence aussi violente que le crime qu’elle sanctionne grâce au condamnation pris à la légère pour des raison insuffisante et injuste et avec la cruauté de la peine de mort avec ces acte inhumain et prémédité.
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