Ecriture d'invention
Commentaire de texte : Ecriture d'invention. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Umar Aumeerally • 29 Mai 2019 • Commentaire de texte • 520 Mots (3 Pages) • 544 Vues
Jean Malbar
Ecriture d’invention
Les secondes s’écoulent, la cloche va bientôt retentir, le cœur de jean-malbar s’emballe. Sa prof de français est aussi écoutée que Michelle Sardou, elle aurait pu rendre l’âme, aucun des élèves aurait remarqué. Jean malbar sait que c’est le seul moment de toute l’année ou victoria l’accordera un minimum d’attention, il prend son courage à deux mains et s’élance : « Eh ! Victoria ! Victoria ! As-tu fini tes lectures cursives ? » Sa voix rauque et bruyante sous-poudrée d’un arome de gros poids brusque Victoria, cependant elle répond par politesse « Désolé, je n’avais pas remarque que tu me parlais. Oui, je les ai terminés ce week-end mais leurs fins m’ont complètement frustré. Je n’apprécie pas du tout, les fins ouverte » Jean Malbar n’a aucune idée de quoi elle parle, son visage est noyé par la sueur. On aurait cru qu’il sortait de Grand Bassin, cependant il improvise « Au contraire, je trouve que les fin ouvertes sont les meilleures. La littérature a pour but d’être universel, elle permet à chaque lecteur d’entreprendre le récit d’une différente façon. Une fin ouverte libère notre imagination, pendant un instant. Nous quittons ce monde sombre et nous devenons les maîtres de notre propre récit » Victoria est choquée, jamais de toute son existence avait-elle envisagé que Jean- malbar était capable d’une tel réflexion. Elle prit un moment pour réfléchir et le répondit « Les fins ouvertes sont des inventions par les porcs capitalistes, ça laisse la possibilité de créer une suite. Elles n’ont pour seul buts à nous faire acheter encore. Une fin ouverte transforme une livre en une trilogie, une fin ouverte n’existe qu’à des fins commerciales. » Jean Malbar reste calme, il lui reste encore du temps pour l’amadouer. Il s’élance vers Victoria, l’attrape la main et lui regarde dans les yeux en disant « Des fois, il faut laisser le mystère planait. Passes les choses à l’écrit, c’est les rendre inertes, envisager que nos personnages continuent à mener leurs quêtes quelque part, que l’aventure continue. La fin ferme tue les personnages, nous avons l’impression qu’ils n’ont seulement existé le temps du temps livre alors. C’est vision très vide du monde, la fin ouverte donne une touche d’espoir au lecteur » En un geste victoria écarta Jean Malbar est répondit d’un ton tellement glacial qu’il aurait pu faire frissonner le soleil « Le lecteur ne doit pas entreprendre le rôle de l’auteur, c’est à lui de terminer son récit et personne d’autre. Le lecteur ne doit pas chercher ailleurs pour une explication. L’auteur ne s’assume pas vraiment si il propose une fin ouverte, il n’est pas capable de trouver une fin qui satisfait son audience alors il la laisse dans le floue » Pour être honnête, Jean-malbar ne sait à peine lire mais il sourit vers Victoria en levant son unique sourcil qui surplombait son front massif en se disant « Ah mes enfants vont être des professionnels au kit-surfs tout en habitant a quatre cocos »
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