Discours d'éloquence : La perte matérielle d'un homme de richesse, révèle-t-elle sa vraie nature sans que personne ne s'en étonne ?

                                                       Discour d'éloquence

La perte matérielle d'un homme de richesse, révèle-t-elle sa vraie nature sans que personne ne s'en étonne ?


L'homme est puissant. C'est un fait ; l'être humain rationnel et normalement constitué cherche a
connaître, savoir, se développer, avoir et créer. Mais imaginons maintenant que l'on rende l'homme
riche, qu'on lui accorde un nombre considérable de richesse et ressources. À cet instant celui-ci
construit son nouveau moi. Son nouveau « Je ». Son nouveau « Moi, je suis riche ».
Et là, il ne fait plus attention à ces défauts, son ridicule et ses autres grossièretés qu'il couvrait auparavant par la honte sont libérée, ses vice sons alors voilés aux yeux des mendiants et ces confrères. Pour seules justifications ses grands biens qui lui donnent du pouvoir ? La réponse est certes oui.

Il est vrai que l'homme utilise ses ressources pour cacher ses défauts, il est vrai que l'homme riche tombe rapidement dans le ridicule qu'il essaie de cacher en vain, il est vrai que le riche est valorisé, mais quand il perd sa richesse un contraste se créer alors et il est vrai que la perte en bien d'un riche revel sa vraie nature et malgré cela nous n'en sommes pas surpris.
Tous ces arguments, je vais les défendre aujoirdui en mon nom.
On peut parler de madame pec assèche aussi appelé Valérie Pécresse, a la suite de sa défaite aux présidentiel, connu de lourdes dettes du a sa campagne et se vautra donc dans le rôle de mendiante du peuple attitude qu'elle n'avait pas qu'en elle fut entouré de ces biens.
Elle qui était si gonflée d'une assurance à la limite de l'arrogance qu'a sa chute personne ne fut surpris son absurdité qu'elle avit tant dissimulé n'étonna personne.
L'orsqu'elle réclamer de l'aide certaine était peiné d'autre en riez, on aurait même dit que les gens de son propre partie avait en honte alors que la veille, ils échangeait en toute serainité
C'est vraiment le comble.

Il est vrai que le déclin du pouvoir des riches révèle leurs réelles natures. C'ette auteur, Osamu dazai en donne la preuve par le biai du personnage imaginaire d'Oba Yozo dans son fameux
livre « la déchéance d'un homme ». Ou le protagoniste issu d'une famille riche peine a montrer son vrai visage à son entourage. On nous fait parcourir la vie de ce jeune homme qui se complaît dans la débauche l'alcool ou bien le suicide alors que son père lui coupa les vivres.
Dans ce recit le jeune homme avait toujours l'habitude de faire le clown et de divertir ses proches, sans que cela le lui nuise, ses manières bien que grotesques ne lui porter jamais préjudice, il était riche rien ne le pouvait.

Mais dès qu'il refusa de suivre le chemin que son père lui avait tous traçai, l'immoralité et les saletés de ce monde ne tarda pas à frapper à sa porte . Et la la difficulté qu'il éprouver a montrer  son vrais visage disparu en meme temps qe sa dignité.

Il est vrai que l'humain qui est riche se soucie peu de comment il agit en général tout lui est accordé. Face à ses aires pompeux les gens rie et lui tende la main, mais dès lors qu'il perd tout ; personne n'est abasourdit par ses manières, sa vulgarité et son caractère de chien, au contraire, ils en rient. C'est le bouffon du peuple, le bouffon des autres, le bouffon de ceux avec qui il rigolait,bouffon des personnes qui se trouvaient au même garde social que celui qui n'en est plus.

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