«De l’esclavage des nègres» de Montesquieu

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Emma                                                Commentaire de texte

1G7                                        «De l’esclavage des nègres»

Ce texte est un extrait de l’esprit des lois paru en 1748 de Montesquieu, un philosophe de l’époque des lumières.

Dans cet ouvrage argumentatif Montesquieu nous donne son avis d’un point de vu politique et sociologique sur les coutumes de son époque.

 On remarque ici que l’auteur semble s’opposer à l’esclavage en employant l’ironie, pour mieux dénoncer cette pratique, c’est ainsi que nous nous sommes demandés comment Montesquieu à t’il mit en œuvre sa lutte contre l’esclavage, et comment a-t’il remit en question l’esclavage. Nous répondrons à ces questions sous forme de deux axes, dans le premier j’’évoquerai le fait que Montesquieu semble plaidoyer en faveur de l’esclavage, puis dans le deuxième axe le réquisitoire contre l’esclavage.

     Dès les premières lignes Montesquieu se met à la place des souteneurs de l’esclavagisme des nègres grâce au pronom personnel « je » dans « Si j’avais[…] voici ce que je dirais».L’auteur souligne davantage son parti pour cette pratique en ajoutant :«le droit que nous avons eu de rendre les nègres esclaves... » comme si l’esclavage était un droit.

Dans son argumentation, Montesquieu fait preuve de logique, il enchaîne ses arguments pour justifier son plaidement et appuie son raisonnement grâce à un vocabulaire spécifique. Il insiste sur les avantages de l’esclavage comme par exemple : de la ligne 6 à 7, où il dit que « le sucre serait trop cher, si l’on ne faisait pas travailler la plante qui le produit par des esclaves » On remarque ici qu’il essaie de nous convaincre en évoquant le problème donc ici le prix coûteux du sucre, puis la solution donc le travail des esclaves.

Il aborde donc un thème économique, car globalement il prétend que l’exploitation des esclaves permet de faire des économies

De la ligne 11 à la ligne 13 il dit « On ne peut se mettre dans l’esprit qu Dieu, qui est un être très sage, ait mit un âme, surtout une âme bonne, dans un corps tout noir » il porte des propos racistes, il affirme qu’on ne peut être bon et noir, selon la volonté de dieu.

Puis de la ligne 25 à 27, Montesquieu sous-entend que les noirs sont des sauvages en affirmant qu’ils ne savent pas ce qui a de la valeur ou non.

L’auteur aborde don plusieurs thème comme la politique, la sociologie, il évoque Dieu…

II-

Comme évoqué précédemment Montesquieu se montre comme porte-parole de l’esclavagisme mais en y prêtant davantage d’attention on remarque qu’au final il s’en dissocie

On voit que l’auteur commence son texte avec les pronoms personnels « je » et « nous » mais continue ensuite avec des pronoms impersonnels comme «on » et «ils». On constate que l’auteur débute son texte par la conjonction de subordination «si» annonçant une condition, une hypothèse ou bien une possibilité.

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