Dans gargantua, à quoi le rire mène-t-il ??
Fiche : Dans gargantua, à quoi le rire mène-t-il ??. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Vcantegrel • 30 Décembre 2022 • Fiche • 738 Mots (3 Pages) • 302 Vues
Dans gargantua, à quoi le rire mène-t-il ??
Texte bac 1 : chapitre 11
Projet de lecture : quel enseignement peut cacher un récit si trivial.
- L. 1à 14 : le quotidien sauvage du petit Gargantua
- L 14 à la fin : un enchaînement aléatoire de proverbe ?
Le chapitre annonce le récit de la petite enfance du personnage sous la forme d’un sommaire. L’indication temporelle (l1) restreint la période qui précède l’âge de raison, si ça précède l’âge de raison ce qui veut dire que le personnage n’est pas éduqué, cela correspond donc à une période primitive. La vie de gargantua est tout ce qui a de plus banale, c’est un anti-héros semblable à tous les autres enfants. (Comparaison l3 et expansion du nom « enfant » L3). L’énumération de verbe d’action (l3-4) indique que la vie de gargantua est rythmée par trois besoins primaires.
De ce fait le commentaire du narrateur (l2) prend un sens ironique puisque gargantua n’est pas encore éduquer
L5 l’imparfait a valeur d’habitude renforcer par l’adverbe toujours accompagne l’énumération d’action quotidienne. Le registre familier voir L (5-8) porte sur des verbes d’action et traduit les bêtises du personnages. Le style de ce passage est simple : il consiste en un achainement de proposition juxtaposé (parataxe). Se style imite la simplicité de la vie du personnage.
A partir de la ligne 12 le pronom sujet disparait progressivement devant les verbes ce qui tend à faire oublier le sujet du texte et le personnage de gargantua.
A partir de la ligne 9 un changement puisque les actions du personnage deviennent étranges, absurde insensé. Le narrateur crée la surprise en associant le verbe a un complément inattendu. Cela donne un comique visuel et un comique de situation.
Ce passage contient de nombreuse antithèse (L12-13) et ils donnent un coté absurde au texte.
Dans se premiers mouvement le narrateur rapporte le quotidien quelconque de son personnage qui fait de lui un anti-héros. Il grandi dans l’absence d’éducation et d’ordre de sens.
2. le deuxième mouvement achaine par des phrases le plus souvent simple des proverbes. Le rythme de se mouvement est accélérer comme si le narrateur se lancer dans un débit de citation de proverbe de façon hasardeuse. En effet les trois premiers proverbes qui s’enchaine par juxtaposition (L14-15) alors que leurs significations n’ont aucun rapport. L15-16 apparait un proverbe dont la signification est absurde (antithèse). De plus (l17-18) se succède deux proverbes de sens contraire. Ainsi l’expression populaire s’enchaine sans lien logique. Cependant on a l’impression que par moment ces expression s’enchaîne par association d’idée (L24-25) ou bien ou en commun les références animalières voir champ lexical. Ainsi ces références un bestiaire renforce la déshumanisation du petit Gargantua. L’allusion aux singes (L17) indique que le personnage ne fait pas preuve de réflexion il ne fait que reciter des prières sans les comprendre. Les phrases l(17-18) traduits les comportements qui renverse le bon sens.
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