Corpus sauvegarde des forêts

La forêt joue un rôle déterminant pour la survie de l’humanité, la sauvegarde de cette dernière devient alors essentielle. Quatres documents de genre et d’époque différents abordent ce thème. Celui qui prélude le corpus est l’acte premier de la pièce de théâtre russe Oncle Vania datant de 1897, par Anton Tchekhov, dans lequel sont mis en scène des bourgeois traitant du sujet des forêts, le docteur Astrov incite à la protection les arbres. Alors que l’article de presse issu du Nouvel Observateur de janvier 2000 écrit par Josette Alia dénonce les conséquences de la tempête sur les forêts en 1999, la photographie extraite du dossier de presse “L’Odyssée Verte” représente un parcours dans une étendue de verdure au sein d’un parc dans les Yvelines. Enfin le poème de Jules Supervielle Arbres dans la nuit et le jour souligne la similitude entre les hommes et les arbres.

Tous ces documents mènent à la réflexion suivante : Que représente les arbres pour les hommes? Pour commencer, nous constatons que les arbres sont une ressource indispensable. Puis, les limites de cette ressource. Et pour finir, le rapport entre les hommes et les arbres.

D’une part, les arbres constituent une ressource indispensable pour les hommes, d’autre part pour l’écosystème de la forêt.

A l’époque, le bois permettait aux hommes de se nourrir et de bâtir des maisons ce qui était vital afin de survivre, c’est un membre de la bourgeoisie qui nous révèle cela dans le premier document. De plus, les forêts ont un poids économique conséquent, la journaliste Josette Alia évoque dans son article le marché des champignons qui est assez positif, mais aussi la filière bois qui permet la production de meuble et de papier qui emploie près de 550 000 salariés. Et puis, dans la forêt, les arbres rendent le paysage beau comme nous pouvons l’apercevoir sur la photographie et c’est Ostrov dans la pièce de Tchekhov qui relève le caractère indispensable des arbres à l'écosystème de la forêt : moins il ya d’arbres, moins il y a de gibier et le climat devient mauvais.

Par ailleurs, les arbres sont un moyen de se souvenir de l’histoire, certains arbres sont vieux et ont traversés les époques : c’est symbolique.

En outre, cette ressource présente les limites : elle n’est pas durable. En effet, sa destruction peut être causé par des catastrophes naturelles ou bien par la mauvaise utilisation de cette ressource par les humains qui ne prennent pas conscience de l’importance de la protection de cette dernière.

La journaliste Josette Alia évoque la tempête de 1999 qui a été la plus destructrice du siècle. Cette catastrophe a eu des conséquences terribles au niveau culturel, économique,et écologique.

Dans la pièce de théâtre Oncle Vania, un personnage utilise les arbres comme matière première afin de bâtir des maisons, et de se nourrir, alors que d’autres ressources sont disponibles pour cela. Astrov le met en garde quant à son attitude paresseuse, barbare, et destructrice.

Enfin, le rapport entre l’Homme et l’arbre : ils sont similaires et la relation entre les deux est personnelle et perdure dans le temps.

Le poème Arbres dans la nuit

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