Commentaire Zola, la Curée
Commentaire de texte : Commentaire Zola, la Curée. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar clamence.bonte • 17 Mars 2019 • Commentaire de texte • 1 117 Mots (5 Pages) • 2 566 Vues
INTRODUCTION —> L’impressionnisme est mouvement artistique regroupement plusieurs domaine comme la peinture, la sculpture, la littérature.. Il se manifeste à la seconde moitié du 19e siècle, et se développe principalement à la période où le célèbre écrivain et journaliste français précepteur du naturalisme Émile ZOLA né en 1840 mort en 1902 à Paris, écrit La curée (1872). Il publie son premier roman La confession de Claude en 1865. Dans cette extrait de la Curée, nous relevons une écriture étonnamment réaliste, en vu du mouvement littéraire de l’auteur. Il décrit ,tout au long du texte la ville, thème prédominant le récit, à la manière d’un tableau. Comment Zola, par une description réaliste à l’aspect d’un tableau nous partage le regard envieux de saccard sur la ville de Paris? Nous analyserons en premier lieu ce qui donne a cette description un aspect réaliste pour ensuite basculer sur l’aspect de la peinture dans ce texte. finalement nous étudierons le thème de la ville.
ComMENTAIRE :
AXE 1 : L’aspect réaliste dans le texte :
L’aspect du réalisme dans ce texte, extrait du roman La Curée est flagrant. Nous relevons ici trois caractéristiques phare du réalisme : des repères spatio-temporel précis, du discours direct et une description très poussée. L’auteur nous indique exactement où : « aux buttes Montmartre » (L1) ; « restaurant »(L2) ; «Paris » (L6)… et quand se déroule l’action : « deux mois avant » ; « un dimanche, « à l’automnes » ou encore (L10). Dès les premières ligne nous sommes déjà situés dans le roman, nous savons exactement où et dans quelle période de l’année nous sommes. Cela nous aide à mieux visualiser la seine, et à amplifier l’aspect réaliste déjà très présent dans le texte.
Nous observons plus loin dans l’extrait, du discours direct : « -Oh ! vois, dit Saccard, (…) On dirait que le quartier bout dans l’alambic de quelque chimiste »
(L 18-23). Le choix du discours direct et non indirect ou indirect libre, nous donne l’impression de nous rapprocher du personnage, de vivre les évènements en même temps que lui et de recevoir c’est parole exacte, précise, car c’est le personnage qui s’adresse directement au lecteur. Cet effet de vraisemblable nous ramène une seconde fois au réalisme.
Enfin nous constatons tout au long du texte que la description est extrêmement précise ; chaque fait et geste de ce que font les personnages est décrit dans les moindre détails: « au sommet des buttes » (L4-5) ; « bouteille de Bourgogne » (L7) ; « un nuage rouge » (L12) … Nous sommes réellement emportés pidans le roman, nous avons l’impression de voir le roman se dérouler sous nos yeux grâce à cette précision. Cela fait encore une fois preuve de réalisme.
Tous ces procédés littéraires nous donnent l’impression que le narrateur est enfaite train de peindre la scène en même tant qu’il nous la conte.
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AXE 2 : L’impression d’un tableau
En effet, ce texte nous donne l’impression d’un tableau, d’une peinture par cette description presque impressionniste et précise et grâce aux termes liés à la peinture utilisée à la description du paysage. Tout d’abord, nous relevons le champs lexical de la lumière: « le soleil » (L12), « le grand ciel pâle » (L10), « Le rayon »(L16), ainsi que celui des couleur
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